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Contre la bronchiolite, le gouvernement veut vacciner tous les bébés français avec un vaccin qui vient tout juste de sortir du laboratoire. Le problème, c’est que pendant les essais cliniques, 12 nourrissons sont décédés !
Nous aurons sans doute besoin de votre aide pour faire ouvrir les yeux du ministère de la Santé. Sauvez-les nourrissons français d’un scandale sanitaire. Ce nouveau vaccin expérimental, appelé Nirsévimab. Son nom commercial est Beyfortus. [1,2]
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Il vise à prévenir la bronchiolite, une maladie souvent bénigne. [2]. Mais la réalité est inquiétante… Lors des études cliniques aux Etats-Unis, 12 nourrissons sont décédés sur 1453 ! [4,5] Cela aurait dû alerter nos autorités, et mettre fin à ces essais scandaleux… Mais c’est tout le contraire qui s’est passé ! Aux USA, la Food and Drug Administration a validé la mise sur le marché du produit et les autorités sanitaires françaises ont suivi. [5,6,7,8,9]
Et le pire, c’est que la Haute Autorité de Santé aurait autorisé le traitement… sans même avoir eu accès aux résultats des laboratoires ! Elle aurait apparemment donné son aval… à partir d’un simple communiqué de presse !! Et elle n’aurait pas les résultats avant février 2024 ! [1]
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Comment peut-on autoriser un vaccin sur un simple communiqué de presse, alors que la santé de nos enfants risque d’être en jeu ?!
Nous ne pouvons pas laisser faire ça. Il en va de notre responsabilité d’agir pour éviter une éventuelle catastrophe. Nous demandons un moratoire d’au moins un an sur ce vaccin. Nous demandons que les autorités étudient sérieusement l’efficacité et la sûreté de ce traitement avant qu’on commence à l’injecter à des millions de bébés innocents.
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Pour vendre, leur nouveau produits, les laboratoires Sanofi et AstraZeneca s’appuient sur une campagne de presse bien rodée :
« BFM TV » parle “d’un remède miracle.” [6]
Le journal « Les Échos », prévoit une chute des hospitalisations liées aux bronchiolites de 83,2 %. [14]. « France Info » évoque un traitement “très prometteur”. [15]. Encore une fois, ceux-ci ne se basent que sur ce communiqué de presse du laboratoire, et non sur des preuves tangibles. Où est passée l’objectivité des médias ?
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Ce que les médias ne vous disent pas, c’est que [4] :
Les experts indépendants craignent que ce vaccin ne soit pas efficace, tout en présentant un risque inutile pour de nombreux enfants. [4]
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Santé Publique France rappelle d’ailleurs dans ces messages officiels que : “Dans la très grande majorité des cas, la bronchiolite est bénigne et évolue de manière favorable, spontanément.” [9] Seuls les nourrissons avec des poumons fragiles sont à risque. Les hospitalisations sont rares (2 à 5% des cas) et les décès encore plus (2,6/100 000). [10,11,12,13]
Il n’y a donc AUCUNE URGENCE à vouloir tester massivement une biothérapie expérimentale mi-vaccin/mi-médicament sur des nourrissons.
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Commercialisé en France depuis le 15 septembre 2023, le Beyfortus® est recommandé par la Haute Autorité de santé (HAS) dans le traitement préventif de la bronchiolite à virus respiratoire syncytial (VRS) chez les 0-6 mois et pour les enfants de moins de 2 ans dans leur première saison de bronchiolite. Ce produit pourrait néanmoins être responsable d’une facilitation et d’une aggravation de la maladie chez certains nouveau-nés. Entretien avec la pharmacienne-biologiste Hélène Banoun, qui vient de publier un article à ce sujet dans la revue Current Issues in Molecular Biology.
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Dans les années 1960, il y a eu des essais de vaccin à VRS inactivé qui ont été un fiasco : deux enfants sont décédés et, par rapport au groupe des non-vaccinés, une aggravation de la maladie a été observée chez 80 % des enfants vaccinés. Malgré cet antécédent, le risque d’ADE du nirsevimab n’a pas été correctement évalué dans les essais cliniques, alors que l’Agence européenne du médicament (EMA) recommandait de le faire avec une procédure déterminée. Les résultats des essais indiquent pourtant qu’il y a eu des cas d’hospitalisations dues à la bronchiolite ou à d’autres infections respiratoires dans les groupes traités et ces cas semblaient plus graves que chez les enfants non traités. Même s’ils sont rares, cela incite à se questionner sur un possible ADE.
Par exemple, il n’y a pas eu de recherche systématique de VRS chez les enfants atteints d’infection respiratoire aiguë, ce qui est quand même très surprenant pour un médicament censé prévenir les infections dues à ce virus. On constate aussi que des participants ont été exclus des essais, sans que l’on sache pourquoi. Parfois jusqu’à 8 % du nombre total des participants l’ont été. Sur quels critères ?
Pour l’ensemble des essais, il y a eu davantage de décès dans les groupes traités que dans les groupes placebo, ce qui est interpellant. Même l’Agence américaine du médicament (FDA) l’a noté. Une étude réalisée sur des nourrissons fragiles ou prématurés a également enregistré plus de décès dans le groupe traité avec le Beyfortus (5 décès) que dans le groupe traité avec le Synagis (1 décès), un autre anticorps monoclonal administré depuis une vingtaine d’années aux nouveau-nés fragiles ou prématurés, également en prévention de la bronchiolite à VRS. Le défaut du Synagis (nom commercial du palivizumab) est qu’il nécessite plusieurs injections et coûte très cher, il ne peut donc être administré à tous les nouveau-nés. Le Beyfortus a été développé par AstraZeneca, déjà fabricant du Synagis, pour pallier ce défaut : ils ont modifié la molécule au niveau d’un fragment appelé Fc pour augmenter sa durée de vie après injection, de manière à ce qu’une seule injection suffise. Ils ont également modifié un autre fragment de la molécule, appelé Fab, pour augmenter sa capacité neutralisante, c’est-à-dire sa capacité à empêcher l’entrée du virus dans la cellule. Mais ce faisant, ils ont augmenté le risque d’ADE par un mécanisme biologique que je décris dans mon étude et que les personnes intéressées peuvent lire.
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Sources :
[1] https://www.infovac.fr/
[2] https://www.
[3] https://www.vidal.fr/
[4] https://
[5] https://www.fda.gov/news-
[6] https://www.bfmtv.com/sante/
[7] https://www.insee.fr/fr/
[8] https://www.has-sante.fr/jcms/
[9] https://ansm.sante.fr/uploads/
[10] https://www.
[11] https://www.
[12] https://www.has-sante.fr/jcms/
[13] https://www.essentiel-sante-
[14] https://www.lesechos.fr/
[15] https://www.francetvinfo.fr/
[16] https://www.cdc.gov/media/
[17] https://www.sanofi.com/en/
[18] https://www.
[19] https://www.
[20] https://www.
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Vous lirez dans vos médias :
La deuxième campagne d’immunisation contre la bronchiolite des bébés commence ce dimanche 15 septembre 2024. L’année dernière, le traitement préventif du Beyfortus avait permis de réduire de 80 % les hospitalisations des nouveau-nés, malgré le nombre insuffisant de doses pour couvrir tous les besoins. Depuis l’année dernière, le Beyfortus, à base de nirsévimab, un anticorps monoclonal, protège du virus en six jours grâce une injection unique. ..
Etc …
Notre but est de mettre à disposition des internautes (étudiants, professionnels de la santé et patients) les renseignements disponibles dans le domaine des médecines douces (en anglais, l’on parle de « complementary and alternative medicine »), au sein d’un concept global d’équilibre du terrain, pour qu’ils participent avec nous au débat ouvert sur la médecine de demain … dans une approche systémique de la santé, des symptômes et des remèdes !
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