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La varicelle

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Presque 75% des enfants nord-américains reçoivent, avant l’âge de 24 mois, depuis 1995, le vaccin contre la Varicelle. Pour justifier sa campagne vaccinale, l’observatoire américain de la santé a avancé l’argument économique : chaque dollar investi fera économiser 5,4 dollars en soins médicaux et heures de travail perdues par les parents obligés de rester au chevet de leurs enfants !

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« Le vaccin n’a pas été testé sur plus de dix années. Que se passera-t-il ensuite ? Les enfants développeront-ils des zonas ? »  B.L. Fischer (du « National Vaccine Information Center », organisation non gouvernementale, USA).

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En France, P. Bégué (vice-président du très officiel « Comité technique des vaccinations ») considère ce vaccin comme « une aberration ».

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Gary S. Goldman (PhD) a travaillé pendant huit ans (de janvier 1995 jusqu’à sa démission en octobre 2002) en tant que chercheur sur le projet de surveillance active de la varicelle (VASP). Il s’agissait d’un projet de coopération, avec les Centres de contrôle des maladies et de prévention (CDC d’Atlanta). Lorsque le Dr Goldman a été empêché de publier ses conclusions sur les effets négatifs de l’utilisation universelle du vaccin contre la varicelle chez les enfants, il a démissionné. Dans sa lettre de démission, il a déclaré : « Lorsque des données de recherche concernant un vaccin utilisé dans des populations humaines sont supprimées et/ou mal représentées, cela est très inquiétant et va à l’encontre de toutes les normes scientifiques. Cela compromet aussi l’éthique professionnelle. »

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Le zona … réactivation à l’âge adulte d’une varicelle ancienne

Drugwatch.com rapporte que Zostavax, le vaccin contre le zona du laboratoire Merck, proposé aux personnes âgées de plus de 50 ans dès 2006, fait actuellement l’objet de poursuites pour avoir causé le zona, alors que le vaccin était censé protéger contre cette maladie (réduction de 50% du risque de Zona annoncé). Dix-huit personnes dans le pays ont intenté des poursuites judiciaires contre Zostavax au New Jersey.

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Les plaintes soutiennent que le vaccin a permis le développement du zona. Un cas a entraîné une  hospitalisation avec douleur nerveuse chronique appelée névralgie post-herpétique. Le texte de la plainte précise : « Merck savait – ou aurait dû savoir – que son produit pouvait causer une infection virale, et n’était donc pas sans danger ».

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Les ventes de Zostavax ont chuté lors du premier trimestre de 2018. Au premier trimestre de 2018, Merck a rapporté que Zostavax avait permis de réaliser 65 millions de dollars. Ce chiffre est inférieur de 58% à celui du premier trimestre de 2017. Le nombre de prescriptions de Zostavax a également diminué de 80% au cours du premier trimestre 2018.

Merck attribue les mauvaises ventes à la décision du CDC de recommander le vaccin contre le zona de son concurrent, Shingrix de Glaxo-Smith-Kline, et non à cause des poursuites judiciaires.

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