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Réponse … Dès son premier contact avec un organisme, un micro-organisme étranger (bactérie, virus, parasite ou simple toxine) que les médecins appellent anti-gène (AG) est reconnu par les cellules du système immunitaire. Ceci entraîne une réponse immunitaire qui se manifeste sous la forme d’une réaction à médiation cellulaire (lymphocytes T) ou par la production d’AC (par les lymphocytes B). Dans de nombreux cas, les réactions sont mixtes.
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Au deuxième contact avec l’AG, le type de réponse est en grande partie déterminé par l’effet de la première stimulation, mais l’intensité et la quantité de la réponse sont différentes, à la fois par leur nature et par leur amplitude. C’est la mémoire immunologique qui permet la production d’une réponse secondaire et qui est à la base du principe de la vaccination.
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Or, même après plus d’un siècle de recherches, les scientifiques connaissent mal les fonctions qui constituent le mécanisme de protection normale contre les infections de beaucoup de micro-organismes étrangers (les virus surtout) : la production de vaccins reste empirique ! Il existe toujours un danger d’activer des fonctions effectrices inappropriées, provoquant des maladies sévères ou des états immuno-pathologiques.
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De plus, les vaccinations précoces et/ou répétées, en mobilisant les possibilités du SRE pour la production d’AC anti-microbiens variés vont réduire en proportion les capacités de détoxication, ainsi que l’effet cyto-trophique du SRE, réalisant un véritable « vieillissement expérimental », que les malades ressentent souvent fort bien (asthénie post-vaccinale, dermite sèche …). Ce phénomène est encore plus net lorsque le sujet présente un déficit génétique (ex.: atopie) ou acquis (ex.: hépatite médicamenteuse) du SRE.
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Nous avons ainsi pu observer les conséquences « passionnantes » de la vaccination contre l’hépatite B (premier vaccin concernant une maladie chronique !) : le test MERCURIUS des BNS diverge en hyperfloculation dans les premiers mois suivant la vaccination, s’effondrant ensuite durablement dans les années suivantes. Les symptômes les plus fréquemment rencontrés sont ceux d’un « pervers du foie » : asthénie, prise de poids, sortie de verrues (pôle Rate-pancréas écrasée), conjonctivite ou/et rhume des foins (le méridien du Foie traverse les poumons et la zone ORL), réactivations virales (poussées herpétiques), parfois même déclenchement d’une auto-immunité : PR, SEP, sclérodermie … N’hésitez pas à nous faire part de vos observations (www.revahb.fr/ = Site de l association des victimes du vaccin Hépatite B).
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N’allez cependant pas croire que nous sommes « contre les vaccinations » : si vous êtes exposé durablement au risque d’un agent pathogène et que la protection vaccinale est bonne (exemple : fièvre jaune au Bénin, au bord de la lagune), faites-vous vacciner ! Simplement nous voudrions, pour chaque patient, pouvoir évaluer le risque réel d’exposition existant par rapport à la maladie (ex.: pour l’hépatite B, un nourrisson n’a pas forcement de risque de contamination sexuelle !) et pouvoir aussi différer celle-ci en fonction de l’état – parfois immature ou déficient – de son système immunitaire.
« Le seul vaccin sûr est un vaccin qui n’est jamais utilisé ». (Dr James A. Shannon, membre du National Institute of health).
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Aucun vaccin n’est jamais sûr à 100%, personne n’oserait prétendre le contraire. Cependant, en France, chaque fois que le Ministère de la santé est attaqué dans le cadre des accidents vaccinaux, il oppose l’absence de lien direct entre la vaccination et l’accident, parlant de simples « coïncidences ». Comme il est très difficile de démontrer un lien de cause à effet, surtout quand la mauvaise foi s’en mêle, cette complexité aboutit à faire porter aux victimes tout le fardeau de la preuve.
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Ainsi les autorités se refusent-elles à enregistrer comme « réactions vaccinales » les accidents malheureux qu’on présume être le fruit du hasard. Faute de preuves juridiquement défendables, nombre de complications vaccinales ne sont pas rapportées officiellement. Il serait plus logique et plus moral que ce soit les laboratoires qui apportent la preuve que leurs substances ne sont pas dangereuses. Mais cela semble impossible étant donné les falsifications, de plus en plus reconnues de leurs essais sur leurs produits.
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Nos voisins de la CEE sont beaucoup plus honnêtes dans leur déclaration d’accidents. Aux Etats-unis, depuis 1990, la loi oblige tous les médecins à déclarer les complications vaccinales. Aussi, de 1991 à 1996, on a officiellement enregistré 48743 complications vaccinales… Alors qu’en France, nos pouvoirs publics clament sur tous les toits que les vaccins ne génèrent pas d’accidents secondaires, surtout chez les enfants …
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Certains parlent de « vaccinations homéopathiques » … qui n’en sont pas vraiment. Il s’agit d’une « Micro-immunothérapie » ou « Homéoprophylaxie » qui peut vous apporter une protection de quelques mois (sans augmentation dosable des anti-corps spécifiques). C’est cette méthode que l’on utilise pour la grippe hivernale : quelques doses d’influenzinum 7/9/12 CH en début de période hivernale. Durée de protection : trois mois environ.
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La dernière utilisation et contrôle de la méthode a eu lieu à Cuba en 2008 contre l’épidémie de Leptospirose : la prise de deux doses du nosode correspondant en 200 CH a eu un effet de protection égal à la vaccination classique, sans effet secondaire et pour un coût 20 fois moindre (ref. Institut Finlay, dr. C. Campa Huergo).
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Bibliographie :
Notre but est de mettre à disposition des internautes (étudiants, professionnels de la santé et patients) les renseignements disponibles dans le domaine des médecines douces (en anglais, l’on parle de « complementary and alternative medicine »), au sein d’un concept global d’équilibre du terrain, pour qu’ils participent avec nous au débat ouvert sur la médecine de demain … dans une approche systémique de la santé, des symptômes et des remèdes !
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