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Les intoxications

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Ce chapitre comporte 4 volets d’inégale importance, dans notre monde moderne :

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1 – Les métaux lourds ou/et toxiques

Certaines personnes sont exposées, surtout au niveau professionnel : Plomb pour les couvreurs et les peintres, Or pour les prothésistes dentaires, Amiante pour les ouvriers du bâtiment (asbestose) … La pratique qui consiste à enlever les anciens amalgames n’a pas fait la preuve de son efficacité, au contraire ! 

Le problème est actuellement celui des « nano-particules » (comme le graphène) qui ont des effets immunologiques que nous connaissons mal. Le corps se défend en utilisant :

— la sulfoconjugaison (rôle du foie) qui réduit la toxicité et facilite l’évacuation vers les émonctoires

— Des « protéines chaperonnes » qui isolent ces toxiques dans notre corps et facilite leur élimination est un système de protection efficace et encore mal connu.

— Le drainage de ces toxiques par des chélateurs naturels (sélénium, zinc, chlorela, spiruline …) nous semble peu efficace.

— Les techniques de chelation utilisant des agents chimiques (EDTA, DMPS …) sont peut-être plus efficaces, mais plus lourdes à mettre en oeuvre et aucune publication sérieuse n’a validé leurs effets.

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L’évaluation de ces intoxications n’est pas évidente, on utilisera :

— le dosage dans les cheveux = bonne méthode pour étudier l’exposition durant les trois derniers mois

— le dosage tissulaire par rayonnement induit (oligo-scan), qui ne montre que l’accumulation des polluants qui augmente avec l’âge !

— les BNS24, qui ne sont pas des dosages, mais objectivent la tension sur telle ou telle régulation (Hg, Au, Ag, As, Cadmium, Chrome …)

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2 – les polluants chimiques :

Fluor des dentifrices et de l’eau, Chlore et organochlorés (eau et pesticides), perturbateurs endocriniens, glyphosate (mutagène) … dont nos responsables politiques n’ont pas bien saisi la dangerosité !

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3 – les polluants radio-actifs :

Les examens médicaux répétés, mais surtout l’irradiation résultant ses retombées des 600 explosions atmosphériques depuis les années 1945 : les isotopes radioactifs se fixe dans les tissus et nous irradient 24h/24 ! Ainsi, on peut maintenant évaluer la date de la récolte d’un vin par sa teneur en particules radioactives ! Evidemment, la toxicité dépendra de la quantité ingérée, du métabolisme de la molécule (se fixe ou non) et de sa demie-vie (plutonium = 18 000 ans !). Il n’y a malheureusement aucun moyen de se débarrasser de ces molécules radioactives une fois qu’elles sont rentrée dans un cycle physiologique (plus ou moins long) !

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4 – les médicaments et vaccins :

Sans doute la plus importante actuellement, car les malades ne sont pas prévenus de l’hépatotoxicité de nombreux médicaments (statines et fibrates, IPP, hypocoagulants oraux, fébrifuges, AINS et même les antibiotiques qui a terme ont tous un effet immunodépresseur – direct ou indirect …). En ce qui concerne les vaccins, les chiffres du Covid19 sont sans appel : la mortalité des vaccinés (toutes causes confondues) est supérieure à celle des non-vaccinés !

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Téléchargez et lisez l’extrait de la revue française « Prescrire » qui fait le point de la toxicité et du peu d’efficacité d’une centaine de médicaments allopathiques couramment proposés …

Prescrire

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A – Le Mercure  

On parle actuellement beaucoup des intoxications chroniques au Mercure. Certains praticiens mettent en avant les résultats cliniques obtenus par le remplacement des amalgames dentaires (plombages) par des composites (pas si neutres que ça d’ailleurs). Exemples : 

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  1. une RCH qui saignait depuis 8 ans, et qui s’est arrêtée en moins de 24h après la dépose des amalgames,
  2. des SEP stabilisées avec une diminution de la fatigue après l’enlèvement.
  3. des douleurs chroniques de Polyarthtite rhumatoïde qui ont diminué de 20% …

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MercureS Fig.  concentration croissante du Mercure 

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Le Mercure (Hg) est un métal lourd toxique, liquide à température ordinaire, très réagissant avec tous les métaux, métalloïdes et halogènes. Le Mercure n’est pas un constituant normal des tissus et en combinaison avec les protéines organiques, il donne des radicaux cyanuriques très toxiques = prototype des anti-métabolites, c’est à dire de la chimiothérapie ! 

      Hg métallique … Hydrargir

      Hg+ … Calomel

      Hg ++… Chlorure mercurique

      MethylMercure

      Cyanure mercurique …

 

La médecine n’utilise plus les sels de Mercure (anciens remèdes antisyphilitiques du 19 ème siècle !), neuro et néphrotoxique. On peut mesurer l’intoxication au mercure au cours des trois derniers mois par son dosage dans les cheveux (voie d’excrétion), voir sur ce site la rubrique « Autres bilans biologiques ».  

Qu’il s’agisse de vapeurs ou de poussières, l’hydrargyrisme (intoxication par les préparations mercurielles) professionnel est essentiellement du à une contamination respiratoire. Mais la pénétration percutanée existe aussi, ainsi que la pénétration digestive (cf. les plombages dentaires qui contiennent 50% de Mercure !).

 

Montage Mercure

 

L’intoxication aiguë a toujours lieu suite d’un accident industriel. on l’a observé dans les mines d’aluminium, pour la fabrication des lampes, piles, accumulateurs, le raffinage de l’or (ex.: en Guyane française), lors de la préparation ou de la dépose des amalgames dentaires …  

      Symptômes nerveux … irritabilité, anxiété, insomnie, jusqu’à des hallucinations. On peut aussi observer un tremblement fin des extrémités (souvent révélé par l’écriture).

      Symptômes cutanéo-muqueux … gingivite, stomatite, rougeurs cutanées, urticaire.

      Symptômes digestifs … coliques et diarrhées, jusqu’à la « cachexie mercurielle » (maigreur extrême) – heureusement plus guère observée actuellement.

L’organisme élimine le mercure très lentement, surtout par les urines et les selles.

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L’intoxication chronique : 

Un peu d’histoire, à partir de 1932, dans l’usine pétrochimique à Minamata, au sud-ouest du Japon, on rejette de nombreux résidus de métaux lourds dans la mer, dont du mercure. L’oxyde de mercure était alors utilisé comme catalyseur pour la synthèse de l’acétaldéhyde CH3CHO. 

Vingt ans plus tard, les premiers symptômes apparaissent (de nombreux problèmes liés au système nerveux, comme, par exemple, la perte de motricité) et la première description de la maladie remonte à 1949. Suite notamment à la consommation de poissons de la baie, on compta près de 900 décès de 1949 à 1965. La firme a par ailleurs reconnu 2200 malades officiels, mais a payé près de 10 000 personnes atteintes pour qu’ils arrêtent les poursuites judiciaires. Des mères ne présentant aucun symptôme ont donné naissance à des enfants gravement atteints (malformations plus ou moins lourdes, handicaps divers ou multiples, enfants mort-nés…).

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Notre expérience : 

Ces phénomènes sont heureusement rares, les traces de Mercure ingérés par tout un chacun restant le plus souvent sous forme inactive (chelaté) dans nos protéines grasses. 

Certains praticiens se sont fait les spécialistes de la « détoxication mercurielle », avec l’aide de tests sophistiqués (Mélissa – trop spécifiques et très chers) et de traitements curieux (chlorella, ail des ours …). Nous n’adhérons pas à ces pratiques, à notre avis peu utiles et inefficaces.

Par ailleurs, il est toujours dangereux de vouloir enlever des amalgames anciens (les turbines dentaires volatilisant le mercure de ceux-ci, cf. le cas de dentiste ami qui faisait une crise d’urticaire géant après chaque dépose !). 

Si l’on tient absolument à intervenir sur les amalgames, il faut savoir que l’élimination de ceux-ci n’est pas simple (à faire sous digue et aspiration continue). Il faut commencer par la dent qui a la plus grand différence de potentiel électrique, puis refaire les mesures et les dosages … Malgré cela, a concentration de Mercure urinaire augmente généralement le lendemain de la dépose !

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Protocole médicamenteux à suivre pour la dépose des amalgames :

Temps 1 … dans la salle d’attente faire avaler deux gélules de Chitosan (agent chélateur des métaux lourds) ne franchissant pas la barrière digestive.

Temps 2 … après la dépose, donnez deux comprimés par jour, pendant quelques jours de Spiruline ou de Sélénium ACE (agent chélateur des métaux lourds au niveau humoral – facilite l’excrétion urinaire).

Temps 3 … si le patient présente des symptômes gênants dans les suites de la dépose (6 semaines environ), on peut prescrire le remède homéopathique correspondant à ceux-ci, ou à défaut un iso d’amalgame en 30 CH ou 200K 

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B – L’intoxication au Plomb

(Lead en anglais) était classique autrefois chez les plombiers-zingeurs. Le diagnostic en était facile du fait de la paralysie typique des extenseurs du 2ème et 5ème doigts …

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C – les nano-particules

Problère récent, encore mal connu, mais d’une dangerosité probable …

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D – les gaz lacrymogènes

Le patient a été secouriste lors des nombreuses manifestations à Hong Kong au cours des deux mois précédents depuis juin 2019. Selon les rapports de police datant de fin août, près de deux mille grenades lacrymogènes ont été tirées lors de nombreuses manifestations, notamment résidentielles et commerciales. ainsi que dans des zones fermées comme les stations de métro, blessant de nombreux manifestants, civils, journalistes, secouristes et professionnels de la santé. Son expérience précédente avec les gaz lacrymogènes a été pour la plupart légère et passagère, avec seulement des sensations de brûlure de la peau et de la gorge, qui ont disparu en quelques heures. 

Les trois remèdes qui correspondent le mieux sont SULFUR, suivi de HEPAR SULFUR et de NUX VOMICA.

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Les toxicité médicamenteuses et leurs antidotes :

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L’utilisation d’un isothérapique a parfois des effets favorables sur les effets secondaires à long terme.

Le « drainage des vaccins » est au contraire une méthode qui nous parait aléatoire …

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