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Les Aztèques croyaient qu’un aliment étrange rendait leurs coureurs plus rapides que tous les autres. Ils récoltaient des algues spirulines dans le lac Texcoco et les transformaient en galettes pour nourrir leurs messagers. Ces algues fascinaient les Aztèques à cause de leur couleur vert profond qui rappelait l’émeraude.
Il y a 500 ans, ces anciens Mexicains avaient déjà compris que la spiruline était un « superaliment » ! Elle contient des quantités remarquables de fer, de protéines, de calcium, de magnésium et d’autres nutriments importants. Cela lui confère des vertus pour contrôler la glycémie, combattre l’inflammation chronique, protéger contre le cancer et abaisser la tension artérielle.
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Présentée comme une « micro-algue bleue », Arthrospira platensis est en fait une cyanobactérie (procaryote), qui est de forme cylindrique et hélicoïdale, longue d’un demi-millimètre). Cette poudre verte, au léger goût de champignon, contient plus de protéines, de fer, de vit. A et d’acide gamma linoléique par gramme que tout autre aliment.
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Donc :
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Il en existe 1500 espèces, qui vivent dans les eaux saumâtres (pH de 8 à 11) et chaudes (de 25 à 40°). Ce sont des procaryotes (pas de noyau distinct), condiment traditionnel dans plusieurs endroits du monde (lac Tchad – Afrique, Mexique …) découverts pour le monde scientifique depuis 1964. La NASA en étudie la culture pour les colonies spatiales (régénération de l’air et nutriment énergétique). Elle contient :
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INDICATIONS : les inflammations chroniques et les maladies dégénératives (antioxydant majeur et nutriment réparateur) :
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Actuellement, des associations se multiplient à travers le monde pour promouvoir la culture de Spiruline en systèmes autonomes (recyclage des déchets azotés), car elle produit plus de protéines que le soja, en consommant beaucoup moins d’eau. On estime la production actuelle à environ 1000 tonnes/an. Elle est meilleure au goût que la chlorella et beaucoup plus digeste.
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Nous avons eu l’opportunité de réaliser en 2015 une nouvelle pathogénésie biologique sur une quinzaine d’étudiants volontaires du cursus naturopathique de l’Agricampus d’Hyères. Nous tenons à remercier vivement ceux-ci, ainsi que leurs professeurs, messieurs Kamel Kissar et Philippe Stéphanini.
Ces étudiants (et leurs professeurs), en bonne santé apparente et sans traitement particulier, ont fait un premier BNS et entrepris un traitement de 4 mois de SPIRULINE, celle-ci étant produite sous surveillance de l’école, dans les meilleures conditions possibles. Un second BNS a été réalisé à la fin de cette période et les résultats comparés. C’est cette étude que nous vous résumons ici (différences entre les 2 profils) :
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ALB A1P A2P BET GAM EuGlobulines
-0,38 | 0,01 | -0,14 | 0,23 | 0,13 | -0,29 |
On observe que la Spiruline (très protéinée) à tendance à « sécher » les patients (baisse des ALB et EuG) et à compenser une éventuelle insuffisance hépatique (augmente les BêtaGlobulines). L’action moyenne sur les autres paramètres immunitaire n’est pas significative.
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Iode Zinc Amm. Acide Mang. Calcium
0,11 | -0,17 | –0,35 | -0,22 | -0,05 | -0,05 |
Là aussi, l’action de la spiruline s’exerce essentiellement sur l’eau : baisse de l’Ammonium (sècheresse et malgestion des sucres) et du radical Acide (acidose urique, goutte).
Globalement, les résultats paraissent un peu décevants. En fait, l’interprétation cas par cas des résultats est bien plus éclairante : la spiruline normalise la plupart des profils de façon très efficace ! Elle semble posséder, comme nous l’avions déjà remarqué chez d’autres plantes, des effets « anti-hyper et anti-hypo » que leur simple somme manque à objectiver :
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Fig. 1 : Paramètres du BNS n°1 en bleu / BNS n°2 en rouge.
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Cette propriété normalisatrice est d’ailleurs répandue chez la plupart des plantes primitives. A ce sujet, on peut citer la Prèle, riche en soufre et en silice, qui s’est avérée efficace, à l’occasion, aussi bien sur des inflammations aiguës (hyper Alpha1+2), que chroniques (hyper Bêta + Gamma).
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Fig.2 : BNS n°1 hyperfloculant (en bleu) avec une belle normalisation de presque tous les paramètres !
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En l’absence de traitements contre la pandémie, la recherche de différentes stratégies et d’alternatives thérapeutiques est inévitable. Le renforcement du système immunitaire est l’une des stratégies qui éviterait une infection virale des personnes saines. Une telle stratégie a été initiée par le CSIR-CFTRI ou Central Food Technological Research Institute, avec le soutien du gouvernement d’Inde, en distribuant des compléments alimentaires contenant de la spiruline aux personnes infectées.
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Les algues possèdent des fonctions immunomodulaires qui pourraient être utiles à la régénération individuelle du système immunitaire. Spirulina plantensis est initialement connue pour être une algue bleue-verte poussant dans un environnement hautement alcalin et spécialement utilisée pour sa forte valeur nutritionnelle, incluant acides aminés, vitamines, protéines, polysaccharides, ainsi que d’autres pigments.
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Des études in vivo en double aveugle menées sur des souris infectées par la grippe A auxquelles a été donné de l’extrait de spiruline, ont montré un bien meilleur taux de survie que le groupe témoin.
L’extrait de spiruline perturbe l’accumulation sanguine de particules virales dans les globules rouge, inhibant ainsi le processus d’infection.
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1/ Les micro-algues chlorella et spiruline sont les plus connues. À en croire certains vendeurs, elles vous apporteraient tous les nutriments dont vous avez besoin. Le problème, explique Jean-Paul Curtay, c’est que la plupart de ces nutriments se trouvent sous une forme mal assimilée par votre organisme. Ils se gardent bien de vous dire par exemple que :
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2/ Certains disent aussi que la chlorella et la spiruline sont chélatrices : elles auraient la capacité de se lier aux métaux lourds pour les évacuer de votre corps. Mais… des analyses récentes en laboratoire ont montré que ces deux algues sont bien souvent contaminées elles-mêmes par… des métaux lourds ! Les tests auxquels je fais référence[6] ont prouvé la présence d‘aluminium, d‘étain, d‘arsenic, de plomb et même de mercure dans des dizaines d’échantillons. Un comble pour des aliments annoncés comme chélateurs…
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La revue médicale « Prescrire » alerte des dangers liés à la spiruline, via un communiqué du 1er novembre 2018. Des effets indésirables principalement hépatiques lui sont imputés, sans en préciser le nombre exact, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anses) affirmait déjà en novembre 2017 que « plusieurs cas d’effets indésirables survenus à la suite de la prise de compléments alimentaires contenant de la spiruline » ont été recensés. Parmi ces effets indésirables : des atteintes principalement hépatiques, mais également musculaires, des troubles digestifs et des réactions d’hypersensibilité (allergie).
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Ces risques proviendraient du fait que les produits à base de spiruline « peuvent être contaminés par des cyanotoxines (microcystines notamment), des bactéries ou des éléments traces métalliques (plomb, mercure, arsenic)« . Elle est par ailleurs contre-indiquée chez les personnes atteintes de phénylcétonurie (maladie génétique rare liée à l’accumulation de l’acide aminé phénylalanine dans l’organisme), et chez celles « présentant un terrain allergique ».
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En France la consommation de cette algue aux bienfaits abondants a atteint 250 tonnes l’an dernier. C’est 5 fois plus que la production des spiruliniers français [1]. Le reste est importé, notamment de Chine…[2][3]. Malheureusement, la spiruline importée est souvent de très mauvaise qualité ! Du coup on voit se multiplier des témoignages sur Internet comme :
Comme je comprends ces « déçus de la Spiruline » ! Mais ils se trompent. Il est possible d’accéder à de la Spiruline de haute qualité, locale et bio.
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Quand la demande a explosé, des gros producteurs étrangers ont industrialisé les étapes de production. Et ils ont mis sur le marché des produits dénaturés. Ces spirulines industrielles sont généralement séchées grâce à deux techniques qui détruisent 50% des nutriments présents dans la spiruline ! [10]
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Des études sont en cours sur d’autres manipulations qui diminueraient encore la richesse nutritive de la spiruline : la pulvérisation, la transformation en comprimés ou en paillettes, la dilution de la spiruline en ampoules liquides.
Mais il y a plus inquiétant encore. Selon plusieurs études effectuées en laboratoire, plusieurs spirulines étrangères seraient contaminées. Celles d’Afrique et d’Asie en particulier contiendraient du plomb, du mercure ou de l’arsenic [13]. La raison en est simple : dans ces pays, les normes agricoles sont très éloignées des nôtres.
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L’affaire a été prise très au sérieux par L’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’Alimentation (ANSES), qui a publié en novembre 2017 une alerte sur les Spirulines contaminées [16], conseillant de privilégier les « circuits d’approvisionnements contrôlés ». Autrement dit les producteurs locaux.
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[1] Production mondiale de spiruline, planetscope, consulté en septembre 2019, disponible sur : https://www.planetoscope.com/Autre/1027-production-mondiale-de-spiruline.html
[2] Etat des lieux du marché de la spiruline, Imbrikation, consulté en septembre 2019, disponible sur : https://imbrikation.fr/etude-en-ligne/page-etude/Étude%20de%20marché%20spiruline/
[3] Sylvie Richard, « Microalgues : la spiruline superstar », La Revue de l’Industrie Agroalimentaire, juillet 2017, consulté en septembre 2019.
[4] Gutiérrez-Salmeán (G.), et al., « Nutritional and toxicological aspects of Spirulina (Arthrospira) », Nutr. Hosp., 2015, 32, 34-40
[5] Selmi C, Leung PS, Fischer L, German B, Yang CY, Kenny TP, Cysewski GR, Gershwin ME.The effects of Spirulina on anemia and immune function in senior citizens. Cell Mol Immunol. 2011 May;8(3):248-54. doi: 10.1038/cmi.2010.76. Epub 2011 Jan 31.
[6] Nielsen CH1, Balachandran P, Christensen O, Pugh ND, Tamta H, Sufka KJ, Wu X, Walsted A, Schjørring-Thyssen M, Enevold C, Pasco DS. Enhancement of natural killer cell activity in healthy subjects by Immulina®, a Spirulina extract enriched for Braun-type lipoproteins. Planta Med. 2010 Nov;76(16):1802-8. doi: 10.1055/s-0030-1250043. Epub 2010 Jun 17.
[7] Yakoot M, Salem A. Spirulina platensis versus silymarin in the treatment of chronic hepatitis C virus infection. A pilot randomized, comparative clinical trial. BMC Gastroenterol. 2012 Apr 12;12:32. doi: 10.1186/1471-230X-12-32.
[9] Ismail et al., « Effect of spirulina intervention on oxidative stress, antioxidant status… », Bio. Med. Research International, Vol. 2015, Article ID 486120, 7 p.
[10] Sarada, R. M. G. P., Pillai, M. G., & Ravishankar, G. A. (1999). Phycocyanin from Spirulina sp: influence of processing of biomass on phycocyanin yield, analysis of efficacy of extraction methods and stability studies on phycocyanin. Process biochemistry, 34(8), 795-801
[11]Séchage de la spiruline, Spirulina, consulté en septembre 2019, disponible sur : http://spirulina.online.fr/cd-cfppa/SECHAGE.htm
[12]Spiruline : une filière paysanne française en développement, Terre-net, septembre 2018, consulté en septembre 2019, disponible sur : https://www.terre-net.fr/observatoire-technique-culturale/strategie-technique-culturale/article/spiruline-une-filiere-paysanne-francaise-en-developpement-217-141333.html
[13]Court M. Spiruline : attention aux effets indésirables, lefigaro, novembre 2017, consulté en septembre 2019, disponible sur : http://sante.lefigaro.fr/article/spiruline-attention-aux-effets-indesirables/
[14] Naif Abdullah Al-Dhabi. Heavy metal analysis in commercial Spirulina products for human consumption. Saudi J Biol Sci. 2013 Oct; 20(4): 383–388. doi: 10.1016/j.sjbs.2013.04.006
[15] http://www.eau-et-rivieres.asso.fr/media/user/File/ExtraitRevuePDF/dossier128 Cyano001.pdf
[16] Compléments alimentaires à base de spiruline : privilégier les circuits d’approvisionnement les mieux contrôlés, novembre 2017, consulté en septembre 2019, disponible sur : https://www.anses.fr/fr/content/compléments-alimentaires-à-base-de-spiruline-privilégier-les-circuits-d’approvisionnement
[17] Albanes (D.), et al., « Effects of alpha-tocopherol and beta-carotene supplements on cancer incidence in the Alpha-Tocopherol Beta-Carotene Cancer Prevention Study », Am. J. of Clin. Nut., 62, 6, 1995, 1427–1430
[18]USDA, « Seaaweed, spirulina, dried », consulté le 6 août 2019, disponible sur : https://ndb.nal.usda.gov/
[19] Mugnier R., Dans la première ferme urbaine de spiruline, juillet 2018, consulté en septembre 2019, disponible sur : https://usbeketrica.com/video/video-dans-la-premiere-ferme-urbaine-de-spiruline
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Après avoir été présentée comme une des solutions possibles pour lutter contre la faim en Afrique, la spiruline est aujourd’hui pressentie comme le futur super-élément permettant l’installation d’un écosystème favorable à la vie humaine sur Mars. Alors que Perseverance, le rover martien de la Nasa, s’est posé sans encombre sur Mars le 18 février dernier, le monde entier s’est remis à rêver de petits hommes verts. Un fantasme qui s’avère frôlé la réalité pour l’avenir de la planète rouge. En effet, une récente étude publiée en février et menée par l’astrobiologiste français Cyprien Verseux du Zarm (centre d’étude des technologies appliquées à l’espace et à la microgravité de l’université de Brême, en Allemagne) a mis en lumière l’important rôle que les cyanobactéries (bactéries photosynthétiques produisant de l’oxygène) peuvent jouer dans la conquête spatiale et plus particulièrement en ce qui concerne Mars.
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Les Cyanobacteria sont formées par un embranchement de bactéries. D’apparence filamenteuses et gluantes, ces colonies de bactéries unicellulaires ont été assimilées à tort à des algues. Aujourd’hui encore, elles sont couramment appelées « algues bleues », ou « algues bleu-vert ». Parmi les genres les plus communs, on retrouve l’Arthrospira ou encore Azolla, plus connue respectivement sous le nom de spiruline et anabaena. De nombreux scientifiques pensent qu’un boom de ces cyanobactéries, présentent sur la Terre depuis des milliards d’années, est largement responsable de notre atmosphère respirable. Friandes de carbone mais également d’azote, qu’elles transforment en oxygène grâce à la photosynthèse, ces cyanbactéries semblent pouvoir s’adapter à la planète rouge, dont l’atmosphère en principalement constituée, grâce à des bioréacteurs.
La création d’oxygène sur Mars n’est pas le seul enjeu de l’utilisation de ces cyanobactéries. En effet, Cyprien Verseux explique qu’il faut également, « pour des raisons de sécurité et de coûts de transport, transporter le moins possible de consommables depuis la Terre et donc produire des ressources in situ ». Une fois de plus, les « algues bleues » sont la solution. Après leur passage dans les bioréacteurs, elles seront transformées en biomasse. Source de sucres, d’acides aminés et autres nutriments, la matière obtenue à partir des cyanobactéries pourrait alimenter d’autres cultures bactériennes ou végétales, permettant alors l’installation d’un écosystème au cœur du désert martien. Ainsi cette avancée majeure rendrait enfin possible la construction d’une base martienne où « se succéderont des équipages pour des séjours de longue durée » à la conquête de la planète.
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Un des risques de l’espace est le taux élevé des radiations ionisantes ! Une étude réalisée en 1989 par des chercheurs du Zhongkai Agriculture and Technology College en Chine a montré que la spiruline réduisait de manière significative les fréquences des micronoyaux induites par les radiations gamma dans la moelle osseuse des souris affectées. La moelle osseuse est bien sûr responsable de la production de nouvelles cellules sanguines et du maintien du système lymphatique ( http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/… ).
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Un petit pas pour l’homme, mais un pas de géant pour les cyanobactéries, première colonisatrice de l’espace.
Notre but est de mettre à disposition des internautes (étudiants, professionnels de la santé et patients) les renseignements disponibles dans le domaine des médecines douces (en anglais, l’on parle de « complementary and alternative medicine »), au sein d’un concept global d’équilibre du terrain, pour qu’ils participent avec nous au débat ouvert sur la médecine de demain … dans une approche systémique de la santé, des symptômes et des remèdes !
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