Question … L’homéopathie peut-elle avoir un effet préventif ? 

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Réponse … Le problème de la prévention suppose la mise en évidence d’un dysfonctionnement précédant une exposition particulière à une contrainte (externe ou interne) … C’est d’ailleurs ainsi que fonctionnait la médecine en Chine au temps de l’empire : au début de chaque saison, le mandarin faisait venir son médecin, qui l’examinait et prenait ses pouls, puis il le piquait et/ou lui prescrivait un régime. Si le mandarin tombait malade durant la saison suivante, le médecin n’était pas payé ! 

Il faudrait donc faire de même. La meilleure approche étant de faire pratiquer un profil sérique (Bilan Nutrition-Santé … voir dans la section « Laboratoire » de ce site) qui mettra en évidence des faiblesses de structure ou de fonction, parfois encore totalement silencieuses, qu’un traitement homéopathique ou micro-nutritionnel (sels et/ou plante) pourra corriger. 

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Donner un remède sur des symptômes cliniques avant qu’ils apparaissent (?!) n’a pas grand sens. Car l’homéopathie est une approche pharmaco-mimétique qui repose sur le choix d’un remède en fonction d’un ensemble de symptômes : si ceux-ci n’existent pas, ne donnez pas le remède … d’autant que si vous le faites, vous risquez de les provoquer ! Ainsi, ARNICA, donné avant une intervention chirurgicale par exemple, risque de favoriser un saignement ou un hématome !

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Par contre, on peut utiliser la micronutrition  ou les Nosodes (appelés biothérapiques en France) pour leur effet préventif.

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Mais alors, on parle d’ « Homéoprophylaxie« . Ainsi, chaque hiver en prenant des dilutions croissantes (6, 9, 12 et 30 K) de vaccin grippal. L’effet protecteur sera net et au moins égal au vaccin classique (sans les effets secondaires !), bien que moins durable (3/6 mois seulement) mais c’est suffisant dans le cas de la grippe hivernale.

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https://homeopathyplus.com/Homeoprophylaxis-Human-Records-Studies-Trials.pdf