|
.
.
Bilan des effets secondaires de la vaccination, dont on peut légitimement penser qu’ils sont probablement sous déclarés, certains d’entre nous ne les ayant pas signalés à leur médecin (ou le médecin n’ayant pas jugé bon de les signaler sur les sites référents).
.
La pharmacovigilance sur les vaccins a enregistré en France, au 3 juin 2021 (ANSM) 37 850 effets indésirables, dont :
N’oublions pas qu’à ce jour, nous n’avons aucune donnée qui permettrait de prévoir des risques à moyen et à long terme…
.
Des sites peuvent vous aider = https://effets-indesirables-vax.fr/
.
.
Ou par mail :
— recensementeffetsindesirables@protonmail.com
— asso.revav@orange.fr
— temoignages.victime.vaccins.covid@laposte.net
.
.
Témoignage d’un praticien :
Je vois en cabinet de plus en plus d’aggravations anormales et rapides :
– métrorragies, souvent combinées avec maux de tête et insomnie chez les jeunes (20 / 30 ans)
– infarctus ou angor chez les plus agés et plutôt les hommes
– récidive de cancer, particulièrement le cancer des os chez des patients qui étaient fraîchement sortis d’affaire…
– cancer de l’utérus après vaccination chez des personnes âgés en période de ménaupose
– quelques AVC
– Grande fatigue, troubles digestifs, insomnie, dépression…
– Paraplégie et tremblement des membres
– etc …
.
Un exemple patient :
.
Je n’avais pas compris pourquoi nos gouvernants étaient tellement opposés aux traitements précoces … C’est que s’il était reconnu qu’il existe un traitement, les AMM de ces vaccins expérimentaux n’auraient pas été accordées et adieu les 20 MILLIARDS de dollars de bénéfices annuels !!!
.
.
Cette crise a cependant révélé d’autres pratiques : la vaccination en population générale alors que ce vaccin n’avait obtenu qu’une AMM conditionnelle a été une première dans l’histoire de la vaccination. La rapidité avec laquelle l’autorisation définitive a été accordée est également sans précédent. Et cette approbation intervient alors que très peu de données supplémentaires ont été fournies par rapport aux essais cliniques initiaux. Tandis que l’efficacité de la vaccination est toujours avancée par les autorités, de nombreux scientifiques constatent l’échec de ces produits qui ne montrent pas de protection évidente contre la contamination, l’hospitalisation et dans une moindre mesure les décès.
.
Le docteur McCullough analyse enfin les statistiques de différents pays qui connaissent une recrudescence de cas chez les personnes qui ont reçu les deux injections, et commente le rapport d’Oxford publié dans le Lancet sur des travailleurs hospitaliers vietnamiens entièrement vaccinés, qui ont contracté le variant Delta et dont l’analyse de la charge virale était 251 fois supérieure à celle d’une personne similaire avant le commencement de la campagne de vaccination. Les conclusions de l’études sont sans appel : les vaccinés sont de super-propagateurs qui peuvent contaminer les non vaccinés.
.
Novembre 2021 : plus de 30 000 cas de complications post-vaccinales en Europe … et cela ne fait que commencer :
.
.
……………………………………. Mais revenons sur l’histoire de cette « vaccination » ………………………………….
.
Résumé :
.
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/suivi-essai-clinique-moderna
.
Alors que l’épidémie de Covid-19 continue de gagner du terrain, les scientifiques du monde entier se sont lancés dans une course de vitesse au vaccin. Plus de 20 candidats possibles sont en cours de développement, dont un de l’Institut Pasteur qui a débuté des tests sur des souris le 11 mars dernier. sans doute le plus avancé est celui de la start-up « Moderna », organisé conjointement avec le NIH (National Institute of Health, équivalent américain de l’Inserm), qui a débuté des essais de phase 1 chez des volontaires le 16 mars 2020 (un essai démarré en un temps record, quelques semaines à peine après la mise à disposition du génome du Sars-Cov-2).
.
Normalement, obtenir un vaccin efficace, non toxique et utilisable prend entre 15 et 20 ans. Il faut d’abord mettre au point une formule possédant les prérequis chimiques et pharmaceutiques, mener des études d’immunogénicité chez l’animal, évaluer la toxicité du vaccin chez l’animal, puis chez l’Homme, et enfin, tester son efficacité à grande échelle. Mais, devant l’urgence, la pression des gouvernements et des autorités sanitaires, certains appellent à accélérer les procédures. La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a dit mardi espérer un vaccin contre le nouveau coronavirus avant l’automne. Plus raisonnablement, Moderna promet que son vaccin sera prêt au mieux pour mi-2021.
.
.
Mais brûler les étapes est-il souhaitable ? Un vaccin n’est pas un médicament anodin : il s’agit le plus souvent d’un virus désactivé ou affaibli, et peut dans certains cas aggraver la maladie qu’il est censé prévenir. Peter Hotez, doyen de l’École nationale de médecine tropicale du Baylor College of Medicine et qui a travaillé sur l’épidémie de Sras en 2003, a ainsi constaté que certains animaux vaccinés développaient des symptômes encore plus graves lorsqu’ils étaient exposés au virus en raison d’un affaiblissement du système immunitaire. C’est ce que l’on appelle une « facilitation de l’infection par des anticorps » (Antibody-dependant enhancement ou ADE en anglais). Classiquement, le virus initie le cycle d’infection en fixant des protéines de surfaces virales, semblables à des pointes, à des récepteurs de cellules cibles. Ce faisant, ces protéines induisent une réponse immunitaire où les anticorps de surface vont inhiber certains éléments de la cellule nécessaires au virus comme le site de liaison du récepteur ou le peptide de fusion. Or, dans certaines circonstances, ces anticorps vont au contraire se lier avec les pointes du virus et faciliter leur entrée dans la cellule, ou entraîner une réplication et une infection accrue !
.
.
« Il n’y a aucune raison de mettre des gens en danger dans une étude pour un vaccin sans efficacité », met en garde Karen Maschke, chercheuse au Centre Hastings, un groupe de réflexion non partisan, sur le site STAT. « Si, contre toute attente, ce projet précipité fonctionne, alors la société devra être encore plus attentive dans la surveillance et le suivi des personnes qui en bénéficient », renchérit Arthur Caplan, responsable de l’éthique médicale à la Grossman School of Medicine de l’université de New York. Des arguments qui ne semblent pas faire le poids devant la panique déclenchée par l’épidémie de Covid-19.
.
.
Ainsi, dans une réunion à huis clos, les responsables de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) se sont mis d’accord pour autoriser les tests sur les humains avant que les résultats sur les animaux ne soient connus, rapporte un participant à Reuters. Les institutions sont, semble-t-il, prêtes à assumer un risque de quelques cas graves en échange d’un rapide vaccin qui ne sera, au mieux, pas disponible avant un hypothétique second pic de l’épidémie.
.
.
Pour en rajouter une couche, le pr. D. Raoult a récemment déclaré qu’un tel vaccin n’avait pas de sens, car cette infection (famille des virus du rhume) n’était probablement pas immunisante !
.
Ainsi, les laboratoires pharmaceutiques font très fort, ils ont déjà encaissé des fortunes (des dizaines de milliards) pour des vaccins… qui n’existent pas, et dont personne ne sait s’ils existeront un jour ! Hé oui, la folie autour du coronavirus ne fait pas que des malheureux :
.
.
Le gouvernement de Donald Trump a accordé près d’un demi-milliard de dollars à la firme Johnson & Johnson, dès le 30 mars, pour développer un vaccin. Puis il a répété l’opération, en augmentant les volumes, au cours des semaines qui ont suivi. A ce jour, Washington a déboursé au moins 9,4 milliards de dollars auprès de sept laboratoires développeurs de vaccins, sans aucun résultat tangible jusqu’à présent, pour acheter 700 millions de doses. Ces sociétés sont : Johnson & Johnson, Moderna, Oxford/AztraZeneca, Novavax, Pfizer/BioNTech, Sanofi/GSK, Merck Sharp and Dohme.
.
La Commissions européenne, elle, est en “négociations avancées” avec deux développeurs pour fournir jusqu’à 700 millions de doses de vaccins à eux deux. Il s’agit de Oxford/AztraZeneca et Sanofi/GSK, des laboratoires qui touchent donc également des fonds américains.
.
Le Royaume-Uni, désormais hors de l’Union européenne, négocie séparément et a déjà commandé 250 millions de doses.
.
Le Japon, s’est assuré 490 millions de doses dont 250 millions auprès de la société américaine Novavax.
.
Le Brésil a commandé 100 millions de doses à AstraZeneca, et a conclu un partenariat avec le Chinois Sinovac pour fabriquer jusqu’à 120 millions de doses de son “Coronavac”, actuellement testé sur des Brésiliens.
.
La Russie a annoncé que 20 pays, non identifiés, avaient pré-commandé un milliard de doses de son vaccin “Spoutnik V” (avec un v comme vaccin).
.
La Fondation Bill & Melinda Gates, le Wellcome Trust (britannique), ainsi que la Norvège et l’Inde se sont unis pour investir 890 millions pour acheter 300 millions de doses de son futur vaccin à AstraZeneca, qui posera tant de problèmes de thromboses cérébrales mortelles au printemps …
.
En tout, on parle d’au moins 5,7 milliards de doses de vaccins déjà pré-commandées, et ce malgré le fait qu’il n’y ait aucun vaccin, même expérimental, qui n’ait fait ses preuves contre le coronavirus.
.
.
Il reste aussi tous les problèmes liés aux vaccins, comme celui de la grippe par exemple, où la faible durée d’efficacité, les constantes mutations du virus, le coût et les effets indésirables, rendent l’utilité même de la vaccination douteuse.
.
.
ATTENTION ! Ce vaccin peut être extrêmement dangereux. Pour être plus précis :
.
Depuis le début de la pandémie COVID-19 et les premières évocations de possibles vaccins, deux mots sont fréquemment revenus sur les lèvres des vaccinologues : « anticorps facilitants ». Ceci fait référence à la présence, après une primo-infection ou une vaccination, d’anticorps capables d’aggraver une éventuelle (ré)infection. Ce phénomène a été décrit pour diverses infections virales, dont le SRAS, après des essais de vaccination dans des modèles animaux. Cependant, sous l’appellation un peu fourre-tout d’anticorps facilitants, se cachent en fait au moins deux réalités biologiques distinctes.
.
L’aggravation dépendante des anticorps (ADE, antibody-dependent enhancement) est un large concept qui survient en lien avec certaines infections virales, lors de réinfection ou de primo-infection, en dépit d’une vaccination. Elle peut être divisée en deux entités distinctes selon sa cause. Ainsi, on distingue :
– la « maladie aggravée associée à l’infection (initiale) » (IAED, infection-associated enhanced disease) ;
– et la « maladie aggravée associée à la vaccination » (VAED, vaccine-associated enhanced disease).
.
Les anticorps dits facilitants peuvent être des IgM ou des IgG. Curieusement, ces anticorps ne sont pas forcément particuliers : le même anticorps neutralisant, fortement protecteur à haute concentration dans le sérum, peut devenir facilitant à faible concentration !
Ainsi, le plus souvent, l’ADE survient lorsque la personne présente des taux circulants d’anticorps neutralisants faibles (vaccination insuffisante ou ancienne, personnes âgées, infection peu symptomatique) ou une faible spécificité de ces anticorps, par exemple lors d’immunité croisée entre deux infections virales.
.
À l’inverse, en présence de taux circulants élevés d’anticorps fortement spécifiques, il n’est pas observé d’ADE (comme cela a été démontré pour la dengue). Ces observations sont à garder à l’esprit pour estimer le risque d’ADE après une vaccination.
Du fait de cette versatilité de l’effet des anticorps selon leur concentration, dans les travaux de mise en évidence d’ADE in vitro (qui sont bien plus nombreux que ceux menés in vivo), la question se pose systématiquement de la concentration du sérum utilisé, les anticorps protecteurs pouvant devenir facilitants sous l’effet de leur dilution. Ainsi, en règle générale, mieux vaut rester prudent avant de tirer des conclusions à partir de la mise en évidence d’ADE in vitro.
.
Dans le contexte des vaccins contre le SRAS étudiés en modèle animal, certaines études ont semblé indiquer que la réaction immunitaire vis-à-vis de la protéine N (nucléoprotéine) du virus était plus encline à provoquer l’apparition d’anticorps facilitants que celle vis-à-vis de sa protéine S (spike). Néanmoins, ceux-ci sont parfois apparus à la suite de l’administration de vaccins utilisant la protéine S entière comme épitope immunogène. Il est intéressant de remarquer que cela ne semble pas être le cas lorsque seul le RBD (receptor-binding domain de la protéine S) est utilisé comme épitope.
.
Enfin, il est important de rappeler que l’ADE ne s’observe qu’avec certains virus. Elle n’a jamais été mise en évidence dans la grippe saisonnière (ni IAED, ni VAED), ni après les infections dues au virus para-influenza ou aux rotavirus, ni après la vaccination contre la poliomyélite. De plus, contrairement à une idée autrefois répandue, la VAED n’est pas l’apanage des vaccins de type inactivé.
.
L’ADE n’est pas toujours délétère. Parfois, une réaction de type ADE peut se révéler bénéfique en améliorant la réponse vaccinale contre un virus de la même famille. Par exemple, les sujets vaccinés contre l’encéphalite japonaise répondent plus fortement à un vaccin vivant inactivé contre la fièvre jaune (tout deux des flavivirus) : les anticorps croisés issus de la première vaccination facilitent la pénétration du virus inactivé de la fièvre jaune dans les cellules cibles.
.
De la même manière, la meilleure immunité obtenue par le vaccin contre la dengue chez les personnes séropositives pour cette maladie pourrait être liée à un phénomène de type ADE.
.
.
Quelles sont les infections virales qui donnent parfois lieu à des réinfections plus sévères (IAED) ? L’exemple le mieux décrit d’aggravation associée à l’infection initiale (IAED) concerne la dengue. Cette maladie est due à un flavivirus présentant 4 sérotypes. Lors de réinfection par un sérotype différent de celui à l’origine de la primo-infection, certaines personnes développent une forme sévère hémorragique. Néanmoins, cela reste un phénomène rare (environ 0,5 % des réinfections). In vitro, une ADE stricto sensu (impliquant les récepteurs FcgammaRII de cellules immunitaires) a été observée à partir de sérum issu de personnes présentant une dengue aggravée. Cette réinfection aggravée de la dengue semble liée à la présence d’anticorps peu spécifiques (correspondant au sérotype de l’infection initiale) et en quantité insuffisante. En effet, quels que soient les sérotypes impliqués, des taux élevés d’anticorps neutralisants contre un sérotype semblent protéger de l’IAED après l’infection par un autre sérotype.
.
Autre exemple d’IAED, la péritonite infectieuse féline (PIF), due à un coronavirus qui pourrait avoir émergé chez le chat au milieu du XXe siècle. Dans cette espèce, l’administration de sérum de chats fortement séropositifs pour la PIF à des chatons séronégatifs provoque une augmentation de la sévérité de la maladie lorsque ces derniers sont inoculés, ce qui semble indiquer la présence d’anticorps facilitants chez les chats séropositifs. In vitro, un effet de type ADE a été observé à partir de sérums de patients convalescents d’autres infections par des virus comme Ebola ou Zika. Mais ces données sont difficiles à étendre à la clinique, en l’absence d’IAED observée in vivo.
.
Parfois, il est possible d’observer des IAED « croisées » entre deux viroses. Par exemple, chez la souris, les anticorps contre le virus Zika transmis par la mère aggravent la dengue inoculée expérimentalement.
.
L’annonce d’un vaccin Pfizer efficace à 90 % contre le Covid a fait bondir les cœurs ! Un vaccin que ni les médecins de ville ni les pharmacies ne peuvent avoir … Les médias n’ont pas trop insisté dessus, mais il s’agit d’un vaccin à ARN messager, une molécule très instable qui nécessite d’être transportée et gardée dans des congélateurs ultra-coûteux à – 72 °C !! Ni les médecins de ville, ni les pharmacies ne disposent de tels congélateurs. Cela rend la vaccination de masse extrêmement compliquée, pour ne pas dire impossible même dans les pays développés (pour ne pas parler des pays pauvres).
.
Maintenant, ce chiffre de “90 % d’efficacité”, pour impressionnant qu’il paraisse, cache de nombreuses incertitudes. Il a été obtenu de la façon suivante : la firme Pfizer a recruté 43 000 volontaires en bonne santé pour leur donner :
Les participants ne savaient pas ce qu’ils recevaient, ni les médecins, ni les dirigeants de Pfizer. Ils ont ensuite suivi ces 43 000 personnes jusqu’à ce que 90 d’entre elles manifestent des symptômes cliniques de Covid-19. Un comité indépendant a pu établir que 90 % d’entre eux avaient reçu le placebo, autrement dit n’avaient pas été vaccinés. C’est sur cette base que Pfizer a annoncé dans un communiqué de presse, et non dans un article scientifique revu par des experts, un vaccin efficace à 90 % !
.
.
Mais il y a la propagande vaccinale et la manipulation émotionnelle :
.
.
L’usage d’un vaccin à ARN messager n’avait encore jamais été approuvé pour l’homme. Des essais sont en cours pour d’autres maladies infectieuses, comme la grippe saisonnière, le virus Zika et la rage, mais tous en sont au stade expérimental.
.
.
.
Heureusement, il nous reste l’humour :
.
.
Dernier rapport ANSM publié le 26/03/2021 : 8.154.094 injections vaccinales au 18/03/2021 en France dont :
Fièvre, maux de tête, bras douloureux, sont les effets secondaires classiques et connus des vaccins. Moins connues mais tout aussi courantes, des modifications du cycle menstruel sont aussi habituelles. Cet effet secondaire n’est pas mentionné dans la liste des effets secondaires, et n’est pas souvent mentionné par les médecins. Pourtant de très nombreuses femmes vaccinées témoignent du dérèglement de leur cycle menstruel sur les réseaux sociaux.
Règles précoces, abondantes ou douloureuses peuvent être une réaction au vaccin même si ces symptômes n’ont pas encore été répertoriés
Fin février, un tweet de Kate Clancy, anthropologue médicale, évoquait des altérations de ses règles après une vaccination utilisant la dose Moderna. Son cas a généré de très nombreuses réponses et commentaires similaires. Suite à cette avalanche de témoignages signalant des règles avancées de quelques semaines, une aggravation de l’endométriose, des règles manquées, des problèmes au niveau de kystes ovariens, des saignements vaginaux ménopausiques, des caillots sanguins, une enquête pour documenter ces cas a été lancée.
Pour l’immunologiste spécialiste de la procréation Victoria Male, il pourrait s’agir d’une réaction physique, car certaines femmes ménopausées et un certain nombre d’hommes transgenres et des personnes prenant des hormones pour arrêter leurs règles ont signalé des saignements après leur vaccination.
Des modifications pas inquiétantes signalées par des experts en procréation :
Après une vaccination, de nombreux signaux chimiques sont susceptibles d’affecter les cellules immunitaires qui circulent dans l’organisme. Cela pourrait provoquer la perte de la muqueuse utérine (qui fait partie du système immunitaire) et entraîner des saignements ou des règles plus précoces, a expliqué le Dr Male à la BBC. L’ovulation peut aussi être affectée par une inflammation, par exemple si une personne a de la fièvre, et cela peut aussi entraîner des règles précoces ou tardives. Certaines personnes peuvent connaître une baisse de leur niveau de plaquettes ce qui peut aussi causer des règles abondantes. Les principaux experts de la question se veulent rassurants et insistent sur le besoin de mener des études sur l’effet du vaccin sur les règles, afin que les gens sachent à quoi s’attendre (Auteur: France Soir).
.
Un troisième cas d’hémophilie acquise, survenue après une injection de vaccin de Pfizer-BioNTech, a été observé en France depuis le début de la vaccination contre le Covid-19, formant un « signal potentiel » surveillé de près, ont annoncé les autorités sanitaires vendredi 21 mai. Plus de 20 964 000 injections ont été réalisées en France au 13 mai avec ce vaccin, souligne l’Agence du médicament (ANSM) en publiant le 15e rapport de pharmacovigilance sur ce vaccin, couvrant la période du 30 avril au 13 mai.
« Parmi les effets déjà sous surveillance spécifique, l’analyse d’un nouveau cas d’hémophilie acquise (apparition d’auto-anticorps dirigés contre le facteur VIII de la coagulation) sur cette période, portant le total à 3 cas depuis le début de la vaccination », confirme que cet effet indésirable très rare constitue un « signal potentiel, note l’ANSM. Le rôle du vaccin dans la survenue d’une hémophilie acquise ne peut être exclu à ce stade. »
Ces cas sont survenus dans un délai de quelques jours à un mois, chez des personnes âgées de plus de 75 ans. Cet effet très rare ne remet pas en cause le rapport bénéfice/risque du vaccin (Comirnaty) des laboratoires américain et allemand, assure l’ANSM.
Dans la population générale, cette pathologie est très rare (fréquence de 1 à 1,5 cas par million d’individus par an) et touche le plus souvent des patients de plus de 60 ans, explique l’agence
Par ailleurs, huit nouveaux cas de thrombose de localisation atypique, mais aucun nouveau cas de décès, associés au vaccin d’AstraZeneca (le Vaxzevria), ont été observés entre le 6 et le 13 mai. Ce vaccin a fait l’objet de plus de 4 294 000 injections en France au 13 mai. Ces huit nouveaux cas portent le total à 42 cas depuis le début de la vaccination, dont onze décès.
.
Juin 2021 :
Le vaccin Pfizer serait-il responsable d’inflammation du muscle cardiaque chez les plus jeunes ? Les autorités sanitaires israéliennes restent prudentes, mais estiment qu’il existe un lien probable entre le vaccin du duo Pfizer/BioNTech et des cas de myocardite. Les jeunes hommes seraient les plus touchés. Effets indésirables du « vaccin » Pfizer répertoriés par l’ANSM en France : AVC, thrombose, hypertension artérielle, arythmie cardiaque, embolie pulmonaire, hémorragie, insuffisance rénale aiguë, affection hépatique, diabète, inflammation du cervelet, méningite, convulsions, vertiges, zona, paralysie faciale, COVID-19 (!), à présent myocardites…
.
Nous commençons de notre côté à faire des BNS24 aux patients récemment vaccinés : l’orage immunitaite est patent (hyer Alpha2+Bêta+Gamma), avec un stress oxydatif majeur (Euglobulines) et un épuisement surrénalien évident (hypo Albumines) :
.
.
Propositions de traitement homéopathique suite au vaccin Covid 19 (cf. formulaire lab. REGENA – Suisse) :
Complexes = 6 (lymphe) + 23a (sang/génome) + 79 (foie) + 89a (fibrose) + 510a (intoxications)
Si complications … vasculaire = 506a (Aesculus – hamamelis) / Neurologique = 203 (Aranea – Cedron) / Pulmonaire = 42 (Drosera – ferrum phos.)
.
.
Et puis Macron et son équipe vont tout faire pour pousser tout le monde à la vaccination (alors qu’à Gibraltar, où tout le monde est vacciné, l’épidémie repart !) :
Pourtant, Macron et son équipe ont été prévenus : « Vacciner les personnes qui ne sont pas « à risque » pendant une épidémie est une mauvaise idée : on va favoriser l’apparition de variants résistants ! » pr. Christian VELOT (microbiologiste)
.
|
.
.
Au pays des vaccins, il y a de quoi s’y perdre parfois! Entre les vaccins ARN messager et leur technologie révolutionnaire qui scanne l’ADN sans y rentrer ( Pfizer, Moderna) , les adénovirus recombinés comme AstraZeneca, Johnson, voici maintenant une autre voie , celle des lymphocytes T. C’est l’une des pistes de traitements les plus prometteuses parmi les essais en cours dans le monde.
.
C’est le vaccin contre le COVID-19 en phase de tests créé par la start-up nantaise : CoVepit. » Je trouvais dommage que le monde scientifique , Chinois, Américains, Russes ou autres utilisent pour les vaccins contre la Covid tous la même porte d’entrée, celle qui s’attaque à la protéine de surface du Sarc-Cov-2, la protéine Spike en créant des anticorps » explique Nicolas Poirier, directeur scientifique du laboratoire nantais . » Surtout que Spike mute beaucoup »!
.
.
» Il y a d’autres protéines dans ce virus, nous en avons ciblé 11 au total, ces peptides qui sont de petites protéines qui mutent également, nous les avons étudié à travers des séquences du génome du virus , 67.000 séquençages au début, près de 2 millions aujourd’hui à tous les endroits du globe sur la grande base de données internationale , c’est vous dire la précision en temps réel avec laquelle nous travaillons, nous intégrons les variants qui sont le sujet qui va nous préoccuper pour les années à venir, collectivement » .
» Schématiquement, les vaccins actuels que ce soit des Arn messager ou d’autres technologies sont une réponse d’urgence, ils restent actifs face à la protéine Spike et face aux variants à des pourcentages élevés mais on sait aujourd’hui que dès cet automne, il y aura les vaccinations de troisième dose. Ce qui nous intéresse, c’est de nous inscrire dans une vaccination durable, un vaccin qui empêche une réinfection, avec un seul rappel » .
.
Le laboratoire a reçu un premier financement public de 5,2 millions d’euros en décembre 2020. La recherche et l’innovation longtemps parent pauvre de l’Etat redeviennent une priorité d’investisememnt avec le Covid : un plan de plusieurs milliards d’euros destiné à dynamiser la recherche et l’innovation en matière de santé vient d’être annoncé avec des investissements massifs, une simplification et un décloisonnement entre les acteurs publics et privés de la recherche.
……………………………………………..
……………………………………
Bernard LAMBERT (Nantes) Appel aux praticiens :
Son analyse est faite pour apporter un éclairage aux lecteurs et auditeurs dans le plus grand nombre. Elle porte sur tous les effets indésirables graves : mycoardites, effets sur les femmes enceintes, sur les jeunes. Les chiffres sont édifiants, car beaucoup des évènements se passent dans un laps de temps de moins de 21 jours après la vaccination, dont les deux tiers des décès.
Elle déplore que l’Agence nationale de sécurité du médicament ne communique pas ou ne fasse pas cette analyse importante, alors que le gouvernement est engagé dans une campagne massive d’injection avec des thérapies toujours en phase d’essai clinique avec des autorisations temporaires de mise sur le marché.
Son message fort peut se résumer dans ce graphique ou l’on voir que 28% des décès enregistrés ont lieu dans les trois jours suivant l’injection, 40% dans les sept jours et 67% dans les 21 jours.
.
.
Christine Cotton a donc des questions pour nos autorités : elle demande l’accès à l’information, aux données brutes, ainsi que d’en faire l’analyse médicale pour les « évènements reliés » – elle déplore que cette fameuse causalité soit balayée d’un revers de la main sans analyse spécifique.
.
Chercheuse scientifique principale au MIT, Stephanie Seneff y est affiliée de façon continue depuis plus de cinq décennies. Après avoir obtenu quatre diplômes du MIT (B.S. en biophysique, M.S., E.E., et Ph.D. en génie électrique et informatique), elle a mené des recherches sur les réseaux à commutation de paquets, la modélisation informatique du système auditif humain. Spécialisée dans la modélisation et l’analyse du système auditif humain pour améliorer la communication entre humains et ordinateurs, elle fait des recherches et publie également sur des sujets liés à la biologie et à la médecine.
Depuis quelques mois, ses recherches se portent sur la pathologie du Sars-CoV-2 et surtout sur la technologie des vaccins à ARNm et à ADN. Elle conclut à l’extrême dangerosité de ces injections, susceptibles de provoquer une augmentation rapide des maladies auto-immunes, notamment la maladie de Parkinson et les scléroses en plaques au sein de la population. Elle détaille longuement le processus de réaction que provoque la protéine Spike dans les cellules qui « sont en feu » et se mettent à produire massivement des anticorps en réaction. Ces anticorps produits en trop grand nombre pourraient attaquer les tissus de plusieurs organes vitaux comme le cœur, le foie, le cerveau, les ovaires et la rate et engendrer toutes sortes de maladies dégénératives.
.
.
D’après le chef du département de pathologie de l’université de Heidelberg, de nombreux décès provoqués par la campagne de vaccination ne sont sans doute jamais signalés du fait qu’aucune autopsie n’est pratiquée dans la majorite des cas.
Selon le Dr Peter, il est urgent de pratiquer des autopsies beaucoup plus souvent sur les personnes vaccinées et décédées dans un laps de temps qui indiquerait un lien prima facie avec le vaccin. Le Dr. Schirmacher a déclaré à la Deutsche Presse Agentur (DPA) que le nombre de décès provoqués par la campagne actuelle de vaccination est inconnu mais sans doute élevé : « (…) nous, les pathologistes, ne recevons aucune information dans la majorité des cas où un patient meurt suite à, et vraisemblablement à cause de la vaccination. »
Selon l’Augsburger Allegemeine Zeitung, le Dr Schirchmacher souhaite impérativement analyser les rares mais très graves effets indésirables des vaccins tels des AVC ou des maladies auto-immunes. Il déplore l’état de fait où lorsqu’un vacciné meurt, c’est en règle générale sans qu’il n’y ait eu d’observation clinique. « Le médecin appelé à constater le décès ne fera pas le lien avec la vaccination ; il va certifier que la cause du décès était par mort naturelle, suite à quoi le patient sera enterré. Ou bien il va déclarer que la cause de décès est incertaine ; à ce moment-là, le Procureur, n’ayant pas constaté de culpabilité de la part d’un tiers, autorisera l’enterrement du corps. »
Le Dr Schirmacher travaille dans l’État de Baden-Wuertemberg aux côtés des procureurs, de la police et des médecins locaux. Il a déjà pratiqué des autopsies sur plus de 40 personnes mortes dans les 15 jours suivant la vaccination. À son avis, c’est bien le vaccin qui a provoqué le décès d’entre 30 % et 40 % de ces personnes et il en conclut que les suites fatales de la vaccination sont sous-estimées.
Cet entretien à la DPA a fait beaucoup de bruit en Allemagne et a été très largement cité.
Pour l’Augsburger Allgemeine Zeitung, ses déclarations sont « politiquement controversées à un moment où la campagne de vaccination piétine, le variant Delta balaie le pays et des restrictions sur les non-vaccinés sont en discussion ».
Le journal cite certains contradicteurs du Dr Schirchmacher, tels Thomas Mertens, chef de la Stiko (la Commission permanente allemande sur la vaccination), qui ne croit pas à une sous-déclaration d’effets secondaires, ainsi que le Paul-Ehrlich Institut, ou encore le Dr.Christian Bogdan de la Clinique universitaire d’Erlangen.
Le Dr. Schirmacher ne recule toutefois pas ; il a déclaré à la DPA que ses collègues « se trompent lourdement, car sur cette question précise ils n’ont pas les compétences pour juger ». À son avis, si à titre personnel il n’est pas opposé au vaccin, il considère qu’avant de se faire vacciner, il faut impérativement prendre en compte les indications médicales personnelles ; il s’agit de « peser la question de la protection à titre individuel », question fondamentale qui a été ensevelie par la course à vacciner la société toute entière.
Par ailleurs, la Fédération nationale des pathologistes allemands (Bundesverband Deutscher Pathologen) en la personne de Johannes Friemann, responsable du département des autopsies, considère également qu’il est indispensable de pratiquer beaucoup plus d’autopsies sur les vaccinés, et que les médecins généralistes et les services de santé ont besoin d’être alertés : « Les autorités des différents États fédéraux doivent exiger des agences de santé que l’on pratique sur place des autopsies. » Dès mars 2021, sa Fédération avait écrit en ce sens à Jens Spahn, ministre fédéral de la Santé, sans jamais recevoir de réponse.
Qu’il faille en rire ou en pleurer, la langue allemande connaît déjà le néologisme Impftoten: les « morts par vaccin ».
.
.
En France, dès la mi-juillet, le gouvernement de E. Macron impose le paSS sanitaire, ce qui pousse les indécis – sous peine de mise à l’écart social – vers les vaccinodromes, un instant délaissés …
.
.
Au début de l’année 2022, Macron déclare « vouloir emmerder les non-vaccinés » et pour ce faire, son gouvernement transforme le pass-sanitaire en pass-vaccinal aux contraintes accrues … Pas de chance pour lui, la 4ème vague (O-micron) se révèle moins grave et les pr. Tubiana et Raoult déclarent qu’après une année de polyvaccination, on peut considérer que celle-ci est un échec car ce sont les pays qui ont vacciné le plus qui ont eu le plus de cas !
.
Notre but est de mettre à disposition des internautes (étudiants, professionnels de la santé et patients) les renseignements disponibles dans le domaine des médecines douces (en anglais, l’on parle de « complementary and alternative medicine »), au sein d’un concept global d’équilibre du terrain, pour qu’ils participent avec nous au débat ouvert sur la médecine de demain … dans une approche systémique de la santé, des symptômes et des remèdes !
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.
Découvrez la video explicative du Dr Henry sur l’origine, leurs intérêts mais aussi leurs risques
Vous appréciez les articles de notre site ?
Vous vous intéressez à la santé naturelle et à la médecine fonctionnelle ?
Laissez nous votre email pour recevoir toutes les semaines des articles, des infos et des conseils