TWINRIX
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Dès 1992, seize thèses de doctorat ont été consacrées aux effets secondaires des vaccins contre l’hépatite B (http://www.medecines-douces.com/impatient/275fev01/ effets.htm). La question revient à l’ordre du jour, car grâce aux 1200 dossiers montés par l’association ReVaHB (http://www.revahb.fr),quelques victimes avaient récemment obtenu une condamnation des laboratoires fabricants par la cour d’appel de Versailles, mais celle-ci vient d’être cassée !
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Une de nos jeunes consœurs homéopathes a soutenu sa thèse sur le sujet :
« Etude en analyse multivariée Hépatite B versus patients vaccinés contre l’hépatite B, à propos de 349 dossiers »
Thèse pour le doctorat en médecine de Mme Line Civario Cabot, soutenue le 7 novembre 2003, Besançon (292 pages).
L’étude consiste en une comparaison systématique, dans le temps, d’évènements médicaux de deux populations extraites d’une même clientèle de ville :
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* Première population : 33 patients VHB+
Parmi lesquels on dénombre :
– 4 vaccinés VHB (hépatite post vaccinale ou réactivée ?) !!!
– 2 hépatites malgré le vaccin (après séjour tropical) !… le vaccin protège (?)
– 18 hépatites symptomatiques (4 cirrhoses) soit 55% de formes évolutives
– certains cumulent hépatites B+C ! (à noter que le risque d’hépatocarcinome est x 8 !)
– dans 27 cas, le mode de contage est inconnu !
Pathologies associées :
– un cas de SIDA, quelques cas d’Herpès, CMV …
– deux SEP (dont une d’évolution progressive),
– deux thyroïdites de Hashimoto,
– une cholangite auto-immune, une SPA, un FLR, deux LED … (taux de MAI x 2,3)
– sept cancers (extra-hépatiques) … soit 15% (taux x 3 par rapport aux vaccinés)
– une évolution psychotique (schizophrénie).
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* Seconde population : 316 vaccinés VHB
Vaccination majoritairement effectuée entre 91 et 98 (période de la recommandation vaccinale). Ceux-ci ont bénéficié de 1 à 6 injections (majoritairement 3) et au jour de l’étude, on constate que :
20 % des sujets sont séronégatifs (non-répondeurs après 3 injections) !
35% des sujets ont un trop fort taux d’AC (100 fois le seuil nécessaire) !
Les symptômes post-vaccinaux, dont la date d’apparition est en moyenne de 30 mois (de la 1er injection –> 1er symptôme) sont :
Pour les trois types de pathologie suivantes, d’une fréquence 6 fois plus importante chez les vaccinés que chez les infectés (malheureusement l’étude ne comporte pas de population de sujets témoins), et représente environ 15% des cas !
–> allergiques : eczéma, urticaire, oedème de Quincke et asthme surtout, quelques migraines
NB. 9 patients ont présenté une réaction immédiate après l’injection vaccinale
–> dermatologiques : psoriasis, alopécies, acné …, parfois immédiatement après l’injection,
–> gastro-entérologiques : des hernies hiatales, gastrites, colites, mycoses, apparitions de diverticulose colique symptomatiques, 2 RCH ….
Les autres manifestations sont (relativement) moins fréquentes (3 à 5 % des cas) :
–> neurologiques : SEP = 14 cas (!), autres déficits sensitifs ou moteurs = 27 cas, des vertiges, des cas d’épilepsies … et même une SLA, deux méningites et un syndrome parkinsonien
–> hématologiques : anémie, thrombopénie, purpura, splénomégalie …, dont 2 cas immédiats
–> locomoteurs : arthralgies, sciatiques, PSH, canal carpien, algodystrophie … dont 6 rapides
–> ophtalmologiques : cataracte, uvéites, iritis, diplopie, glaucome …
–> généraux : de nombreux cas d’asthénie, de prise de poids, d’algies diverses, d’apparition d’adénopathies … dont 5 cas rapidement après la vaccination
–> ORL et pneumologiques : des infections récidivantes, épistaxis, dysphonie, dyspnée …
–> stomatologiques : des cas d’aphtose majeure et de sécheresse buccale surtout, agueusie…
–> néphrologiques : 4 coliques néphrétiques, 2 maladies de Berger (glomérulonéphrite à IgA)
–> cardio-vasculaires : HTA, arythmie complète, coronaropathies, phlébite …
–> les MAI, hors SEP : 11 maladies de Hashimoto, 3 maladies de Basedow, 5 polyarthrites rhumatoïdes, 5 diabètes, 3 Lupus ED, 3 maladies d’Addison, 1 SPA, 1 FLR, 2 cholangites, une myasthénie, un vitiligo …. (sans compter les 2 maladies de Berger et les RCH citées plus haut)
–> psychiatriques : 28 cas de dépressions, des insomnies, 4 TOC, des rechutes éthyliques ….
Pathologies associées :
—> 4 cas d’hépatite C (dont 3 formes chroniques actives) …
NB. la vaccination contre l’hépatite B induit un faux sentiment de sécurité qui peut mener à des négligences (professionnels de santé, toxicomanes, conduites à risques sexuelles …).
—> Quelques cas de Zona (8), d’herpès (28), un SIDA
—> Et 24 cas de cancers, dont 4 sarcomes (tumeur habituellement rare !).
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Après une telle étude, vous allez observer vos patients vaccinés avec un autre œil (?!) …et sans doute le Dr. Douste-Blazy (ex-ministre de la santé, responsable de la campagne massive de vaccinations en France) … continuera à dormir la conscience tranquille, les laboratoires fabricants ayant, par la suite, avoués le financement de sa campagne électorale !
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Avec 25 ans de recul, on observe qu’en France, le nombre de cas annuels de SEP découverts chaque année a augmenté de 5 500 (avant la vaccination) à 8 000 … mais on continue à nous expliquer qu’il n’y a aucun rapport de cause à effet !
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Il n’existe aucun lien entre le vaccin contre l’HEPATITE B et la SCLEROSE en plaques …
Ce leitmotiv (qu’il n’existe aucun lien entre ce vaccin et la sclérose en plaques) est le principal argument des fanatiques du vaccin, mais, outre cette redoutable maladie, les accidents couvrent un éventail d’une soixantaine d’autres pathologies. Bien avant cette campagne mensongère, la liste des complications signalées était déjà impressionnante : poussées de sclérose en plaques, syndromes de Guillain-Barré, névrites optiques, paralysies faciales, myélites aiguës, lupus érythémateux, polyarthrites, péricardites, uvéites postérieures, urticaire, érythème polymorphe, lichen plan et bien d’autres.
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En 1994, le Lancet (Vol.344) avait dénoncé : « La vaccination contre l’hépatite B a été associée à une exacerbation ou même un déclenchement de maladies auto-immunes telles que des scléroses multiples ou des syndromes de Guillain-Barré ». Ainsi, contrairement à ce qu’on prétend, les problèmes liés à la toxicité de la vaccination contre l’hépatite B ne sont pas réservés à la France ?
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Le Dr Laurent Hervieux résumait clairement la situation dans le N° spécial de l’Impatient de mai 1997 consacré aux hépatites : « Le vaccin contre l’hépatite est composé d’un antigène HBS dont la structure est partiellement commune avec la myéline qui entoure les nerfs. Les anticorps fabriqués par l’organisme arrivent à confondre les deux et à attaquer la myéline, d’où les complications neurologiques enregistrées avec cette vaccination. »
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L’expert, le Dr Marc Girard, a découvert un rapport de la direction générale de la Santé (DGS), du 15 février 2002, selon lequel ces vaccins auraient produit « la plus grande série d’effets indésirables recueillis en pharmacovigilance depuis sa naissance en 1974 », alors que tous nos responsables de la santé persistent à affirmer qu’il n’y en a pratiquement pas. Dans la littérature internationale, on note également une multiplication récente des articles sur la sclérose en plaques chez l’enfant, maladie exceptionnelle auparavant. Ce risque vaccinal chez l’enfant a également été confirmé par un article publié en 2001 dans les Annales épidémiologiques.
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A la suite de ces parutions, les laboratoires ont réagi car, en 2003, les journaux français ont annoncé que des « études indépendantes » avaient totalement innocenté le vaccin. En vérité, ces deux études, réputées « indépendantes » furent initiées et en partie financées par les fabricants de vaccins, la première par Aventis-Pasteur, et la seconde par Merck qui est, par hasard, associé de Pasteur-Mérieux.
Les marchands de vaccins avec nos instances de santé, n’hésitent pas à proclamer que les accidents survenus après la vaccination relèvent de la pure coïncidence et que les liens que les malades cherchent à établir n’ont aucun fondement scientifique.
En outre, ils continuent à claironner qu’il n’existe « aucun accident » chez les enfants de moins de six ans, alors qu’il n’y a aucune raison pour que le pourcentage de mortalité après ce vaccin, pour cette tranche d’âge, soit en France inférieur à celui des Etats-unis. D’ailleurs le Revahb possède plusieurs dossiers concernant des accidents survenus chez des nourrissons, d’autres associations en détiennent également …
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En 2013, la FDA a rejeté pour la première fois la demande de licence de Dynavax concernant l’ Heplisav-B en raison de l’inquiétude de l’organisme de réglementation selon lequel le nouvel adjuvant du vaccin expérimental, conçu pour stimuler l’immunogénicité, pourrait entraîner le développement de maladies auto-immunes. L’Heplisav-B diffère des autres vaccins homologués contre l’hépatite B en ce sens qu’il contient un nouvel adjuvant synthétique connu sous le nom de cytosine phosphoguanine 1018 (CpG 1018) composé de courtes molécules d’ADN de synthèse.
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Les vaccins contre l’hépatite B déjà homologués aux Etats-Unis contiennent des adjuvants à base d’alun (sels d’aluminium) qui stimulent une réponse inflammatoire générale (3). Le CpG 1018 stimule une réponse inflammatoire plus spécifique en produisant des anticorps spécifiques à l’antigène de surface contre l’hépatite B !
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Nouveauté …
En février 2018, le Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation (ACIP) du CDC a approuvé la recommandation d’un nouveau vaccin contre l’hépatite B, l’Heplisav-B (HepB-CpG) destiné aux adultes de plus de 18 ans. Heplisav-B est fabriqué par Dynavax Technologies Corp. Et le nouveau vaccin est administré en deux doses par rapport aux trois doses recommandées pour le vaccin contre l’hépatite B homologué de Merck en 1986 et le vaccin Engerix-B de Glaxo Smith Kline, homologué en 1989.
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Lire aussi : « Les vaccins du nourisson : Coqueluche – Hépatite B et vaccins hexavalents » de Michel de Lorgeril (Collection Vaccins et société, ed. Chariot d’Or, 2019)
Notre but est de mettre à disposition des internautes (étudiants, professionnels de la santé et patients) les renseignements disponibles dans le domaine des médecines douces (en anglais, l’on parle de « complementary and alternative medicine »), au sein d’un concept global d’équilibre du terrain, pour qu’ils participent avec nous au débat ouvert sur la médecine de demain … dans une approche systémique de la santé, des symptômes et des remèdes !
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