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alt   Les troubles de la vigilance, l’hyperactivité 

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TDA/HA signifie « Trouble du Déficit de l’Attention avec Hyperactivité ». Aujourd’hui, on parle fréquemment de TDA/HA lorsqu’un enfant est inattentif et manifeste une grande agitation motrice. Avant d’envisager ce trouble chez un enfants hyperactif, il serait pertinent de consulter un médecin spécialisé, et disposer ainsi d’un diagnostic fiable qui conduira éventuellement à déterminer les étapes d’une thérapie.

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L’histoire du TDA/HA a débuté en Europe.
Les premiers tableaux cliniques qui décrivent un trouble qui s’apparente au TDAH remontent à 1775 en Allemagne avec le travail d’un médecin, Melchior Adam Weikard. Entre la fin du XVIIIe et le début du XIX siècle, des médecins français décrivent un équivalent du TDA/HA dans des ouvrages de médecine et d’éducation.
Dans le début des années 1880, le célèbre neurologue français Désiré-Magloire Bourneville décrit, dans ses comptes rendus médicaux, des syndromes où l’on reconnaît l’hyperactivité nommée alors “mobilité physique exubérante”, le déficit de l’attention qualifié de “mobilité mentale” et l’impulsivité sous forme d’”impulsions subites”.
C’est en 1902 que le Dr Georges Still, pédiatre, rapporte un ensemble de symptômes d’inattention, d’agitation, d’agressivité et d’indiscipline, mais aussi de sautes d’humeur, observés chez 43 enfants, sans déficience intellectuelle.
En 1905, les docteurs Binet et Paul-Boncour évoquent “l’écolier instable” dont voici un extrait : “L’écolier instable (…) ne peut fixer son attention soit pour écouter, soit pour répondre, soit pour comprendre (…), perpétuellement et malgré lui son esprit se tourne ailleurs (…). Il est à noter que souvent l’instabilité physique n’est pas moins prononcée que l’instabilité mentale (…) d’autres écoliers instables ne sont pas seulement des enfants mobiles, se sont en outre et surtout des impulsifs”.

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Une description qui survient 75 ans avant l’apparition du DSM-III !! Franz Kramer et Hans Pollnow inventent le terme de “trouble hyperkinétique” en 1932 qui sera par la suite adopté par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Dans leur article, ils décrivent les cas de 17 enfants qui présentaient des comportements agressifs, de l’impulsivité, des difficultés d’apprentissages mais aussi une agitation motrice désorganisée. 

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Désorientation temporo-spatiale : perturbation du sens spécial qui nous permet de situer notre identité dans le temps et dans l’espace (qualité de la présence d’être au monde), symptôme de confusion mentale.

• Troubles quantitatifs de la clarté du champ de conscience : les hypovigilances ou au contraire l’excitation psychique, rapidité, désordre stérile, aucune efficacité.

• Troubles qualitatifs de la vigilance : rétrécissement du champ de la conscience, le sujet va polariser sa conscience sur un sujet exclusif (comme dans les délires passionnels). Cas des :

  1. états crépusculaires : ils comportent une dissociation entre certaines activités qui semblent automatiques et tout le reste de la personnalité.
  2. états oniriques : construction de rêves à l’intérieur d’un état de conscience, il n’est pas vécu comme un spectacle, mais rêve éveillé activement vécu (delirium tremens).

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Les agités impatients (25 remèdes au répertoire de Kent): « Mon enfant est infernal, à l’école il n’écoute pas, ne tient pas en place et n’arrive pas à jouer avec ses camarades. A la maison, ce n’est pas mieux : nous n’en pouvons plus ! ».

La différence entre TDA et TDA/HA est déterminée par le «HA», lettres qui mettent l’accent sur l’hyperactivité, au-delà du trouble du déficit de l’attention. Alors que les enfants TDA présentent une tendance à la rêverie, à la distraction et souffrent de troubles scolaires, les enfants TDA/HA sont, de plus, caractérisés par une hyperactivité motrice et une forte inattention. Ils éprouvent aussi de grandes difficultés à rester assis.

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Être actif et remuant ne signifie pas être atteint de TDA/HA. Il arrive souvent que certains enfants ne pratiquent pas suffisamment d’activité physique pour évacuer toute leur énergie. D’autres omettent de se reposer ou de se ressourcer régulièrement, ce qui conduit également à une agitation. Le mode de vie de notre société moderne accentue encore la prédisposition au TDA/HA, laissant peu de place à une compensation de ces troubles, comme par exemple:

  • effectuer les trajets scolaires en voiture au lieu de se déplacer à pied,
  • jouer à l’intérieur au lieu de s’amuser en plein air,
  • rester assis devant la télévision ou l’écran d’ordinateur au lieu de gratter la terre ou sauter et grimper partout, en extérieur,
  • les concepts scolaires et ceux du jardin d’enfants ne sont pas toujours conçus pour les enfants souffrant de TDA/HA, car des structures adaptées et des points d’ancrage spécifiques n’existent pas.

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L’évocation d’un tel tableau par les parents renvoie à ce que le DSM5 appelle TDA/HA, c’est à dire « Trouble d’hyperactivité avec ou sans déficit de l’attention  » (ADHD en anglais), dont il n’existe pas de traitement curatif. La prise en charge associe des médicaments (la Ritaline©, qui est utilisée par 1,7% des enfants suisses !) et des interventions comportementales.

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La biologie fonctionnelle :

Personnellement, nous conseillons toujours de faire :

1/ un bilan urinaire des neuro-transmetteurs (BNT), pour objectiver le mécanisme du trouble et de proposer une correction spécifique.

2/ un Bilan Nutrition-Santé (BNS) qui va explirer l’organisation métabolique et immunitaire sous-jascente, et qui permettra de rapprocher ces troubles de ce qu’en dit la MTC.

3/ un bilan IMUPRO Screen, qui pourra mettre en évidence les épines irritatives digestives

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Diagnostic différentiel =

Un certain nombre de chercheurs estiment que 𝗹𝗲𝘀 𝘀𝘆𝗺𝗽𝘁ô𝗺𝗲𝘀 𝗱𝘂 𝘀𝘁𝗿𝗲𝘀𝘀 𝘁𝗿𝗮𝘂𝗺𝗮𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗰𝗵𝗲𝘇 𝗹’𝗲𝗻𝗳𝗮𝗻𝘁 𝗽𝗲𝘂𝘃𝗲𝗻𝘁 ê𝘁𝗿𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗳𝗼𝗻𝗱𝘂𝘀 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗹𝗲 𝗧𝗗𝗔𝗛 et que 𝗹𝗲 𝗿𝗶𝘀𝗾𝘂𝗲 𝗱’𝗲𝗿𝗿𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗱𝗶𝗮𝗴𝗻𝗼𝘀𝘁𝗶𝗰 𝗲𝘀𝘁 é𝗹𝗲𝘃é. Si les symptômes ne sont pas examinés de près, 𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗶𝗹𝘀 𝗱𝘂 𝘀𝘁𝗿𝗲𝘀𝘀 𝘁𝗿𝗮𝘂𝗺𝗮𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗰𝗵𝗲𝘇 𝗹’𝗲𝗻𝗳𝗮𝗻𝘁 𝗲𝘁 𝗱𝘂 𝗧𝗗𝗔𝗛 𝗽𝗲𝘂𝘃𝗲𝗻𝘁 𝘀𝗲𝗺𝗯𝗹𝗲𝗿 𝘀𝗶𝗺𝗶𝗹𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀.

Par exemple :
👉 Les jeunes enfants qui subissent un traumatisme peuvent présenter des symptômes d’hyperactivité et de comportement perturbateur qui ressemblent au TDAH.
👉 Les traumatismes peuvent rendre les enfants agités, troublés, nerveux et sur le qui-vive. Ces comportements peuvent être confondus avec de l’hyperactivité.
👉 Ce qui peut sembler être de l’inattention chez les enfants ayant subi un traumatisme peut en fait être des symptômes de dissociation (sentiment d’irréalité ou d’être en dehors de son corps) ou le résultat de l’évitement des rappels du traumatisme.
👉 Chez les enfants ayant subi un traumatisme, les pensées intrusives ou les souvenirs du traumatisme (par exemple, l’impression que tout recommence) peuvent entraîner un comportement confus ou agité qui peut ressembler à l’impulsivité du trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité.

Le chevauchement des symptômes peut rendre difficile l’établissement d’un diagnostic correct, ce qui peut compliquer l’évaluation et le traitement. Cela est particulièrement vrai lorsque l’on ne sait rien ou presque de l’apparition des symptômes.

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En homéopathie, sur la base des symptômes, on peut proposer :
  • Agaricus (pb) … instable, agité, « touche à tout », faible. S’aggrave en classe, s’améliore avec le sommeil.
  • Anantherum (hg) … frustré d’affection, il fait le pitre toute la journée : c’est le « clown triste »!
  • Argentum nitricum … instabilité du comportement (veut tout faire à la fois !)
  • Arsenicum iodatumindividu irritable, incapable d’étudier, agité, soucieux de sa santé et exigeant, grimpe partout et se demande comment il en est arrivé là, pointilleux, pas épuisé par l’agitation, est très chaleureux, qui essaie d’être gentil mais ne peut pas rester immobile et n’aime pas se baigner.

  • Calcarea phos : enfants minces et grands qui se portent mieux lorsqu’ils sont occupés. Les symptômes s’aggravent lorsqu’ils sont libres. Mouvement saccadé des membres. Développement retardé et apprentissage lent.
  • Causticum (am) … appréhensions vagues sur fond de dépression latente, ne peut tenir tranquille
  • Cereus Bonplandipersonne qui désire s’engager dans le travail; avoir tout son temps employé; être engagé dans quelque chose d’utile. Peut avoir du mal à garder son attention fixe et avoir l’impression que le temps semble passer lentement.

  • Cina : Tempérament irritable. L’enfant pleure lorsqu’on le touche, il répugne à être caressé. Inquiétude continuelle, avec désir de choses de toutes sortes, qui sont rejetées quelques instants après. Disposition à être offensé par des plaisanteries insignifiantes. Grande angoisse et anxiété en marchant en plein air.
  • Coffea cruda (s) … grande excitabilité nerveuse, activité inhabituelle de l’esprit et du corps. Utile pour atténuer les mauvais effets des émotions soudaines, des surprises, de la joie, etc. Indiqué pour les personnes impressionnables, pleines d’idées et rapides à agir. 
  • Hyosciamus (ca) … irritable, tics, exhibitionnisme
  • Iodum (io) … appréhensions diverses, calmées par l’agitation motrice (dysthyroïdie ?). Anxiété et/ou la dépression, sans référence à l’avenir. Impulsion soudaine à courir et à faire violence. Oublieux. Doit être occupé. 
  • Kalium bromatum … faible, lent, ne termine rien, s’embrouille, mains sans cesse en mouvement.
  • Lachesis (ge) … agitée par émotion réprimée, elle parle avec précipitation
  • Lilium tigrinum (mg) … fait tout à la hâte, se sent des devoirs impérieux à remplir… sorte de Sepia qui érotise et culpabilise ses phantasmes de domination, tout en demandant qu’on s’intéresse à elle.
  • Phosphorus … rêveurs vite fatigué, aux phantasmes violents –> possibilité de raptus !
  • Sulfur … débrouillards qui comprennent vite mais sont lassés par un effort soutenu
  • Tarentula hispanica (ge) … désir de courir, de danser, de sauter, mouvements constants pieds et mains. Enfant hyperactif, qui apprécie la musique rythmée. Un enfant intelligent et plein d’esprit peut néanmoins être sournois, rusé, vengeur et malveillant dans ses actes. Peut cracher, crier ou mordre les autres.
  • Zincum … lenteur psychique, n’aime pas les contraintes scolaires, agitation de la tête, des pieds + +
  • Certains auteurs (sud-américains) ont ajouté à cette liste d’autres remèdes plus rarement rencontrés : Anacardium (am), Chamomilla (na), Coffea (s), Nux vomica (s), Stramonium (ca), Veratrum album (as).

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Une étude canadienne a examiné le traitement homéopathique individualisé comme thérapie possible pour les enfants atteints de TDA/HA. Les homéopathes traitants ont été autorisés à choisir le remède qui leur semblait le mieux adapté aux symptômes de l’enfant au début et tout au long de l’étude qui a duré 10 consultations. À la fin de l’étude, 63 % des parents ont signalé une amélioration statistiquement significative des symptômes du TDA/HA de leur enfant. Certains enfants se sont améliorés rapidement avec le traitement, tandis que d’autres ont progressé plus lentement à mesure que le traitement était ajusté pour mieux répondre à leurs symptômes.

Parmi les parents qui donnaient déjà à leur enfant un médicament stimulant pour ses symptômes au début de l’étude, plus de la moitié ont signalé une amélioration supplémentaire lorsque l’homéopathie a été ajoutée. Au total, les homéopathes traitants ont utilisé 39 remèdes différents, les plus fréquents étant : Phosphorus, Hyoscyamus niger (ca), Tuberculinum, Tarentula hispanica (ge), Lycopodium clavatum (al), Anacardium orientale (am), Lachesis mutus (ge), Stramonium (ca), Veratrum album (as), Lac caninum (na), Nux vomica (s), Pulsatilla (si), et Belladonna (ca).

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Et un Nosode (c’est un trouble chronique) :

— Medorrhinum … patient qui cherche à faire les choses le plus rapidement possibles : toujours agité et affairé, c’est la panique inconsciente de l’hypo-adaptabilité (vieillisant ?) : il tergiverse, puis se précipite.

— ou Tuberculinum … jeune patient rêveur, fatigable, qui a du mal à se poser.

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Un tel tableau n’est pas rare, affectant environ un enfant sur 50 ! Ce trouble leur occasionne des difficultés autant à l’école qu’à la maison (l’enfant parle trop, perd ses objets, n’écoute pas …). Pendant des années, ce trouble a fait l’objet de discussions. On a pu l’attribuer à des erreurs d’éducation parentales, à un régime alimentaire inapproprié (allergènes alimentaires, excès de glucides, excitants …) …

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Micronutrition = selon le bilan urinaire des neuro-transmetteurs, qui objectivera le mécanisme du trouble et permettra de proposer une correction spécifique.

En son absence, on peut essayer : « LTO3 » (lab. Herb.e.concept – Canada) : Théanine (pré GABA) + Scutellaire + Sementis

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Organo-sérothérapie : Comme c’est un trouble chronique, on peut proposer NEURIMA (sérothérapie IMMOV)

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La piste du régime alimentaire chez les enfants hyperactifs :

L’étude INCA (« The Lancet » février 2011), un régime d’éviction est mis en place durant 5 semaines : aliments oligo-antigéniques (riz, viandes, légumes, pommes de terre, fruits …). L’amélioration a été significative chez 64% des petits patients !

Mais, une seconde phase, pourtant sous cette alimentation spécifique, a vu la plupart de ces enfants rechuter …

Pour nous, l’intérêt d’un dépistage des intolérances alimentaires est essentiel, de même que la réalisation d’un BNS et d’un BNT.

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Les facteurs génétiques semblent aussi importants pour certains :

  1. Un enfant qui a un parents souffrant de TDA/HA a un risque plus élevé de souffrir du même trouble (Nigel Williams et coll., Le Lancet)
  2. Si un jumeau a un TDA/HA, l’autre jumeau a 75 % de risque d’en présenter un aussi.
  3. L’étude de criblage génomique sur 366 enfants atteints, âgés de 5 à 17 ans, a montré des duplications et des délétions sur de petits segments chromosomiques du chromosome 16. De telles lésions ont aussi été repérées chez des sujets autistes et schizophrènes (base biologique commune ?).

    Nous préconisons la SPIRULINE, car l’apport de Fer et de Magnésium augmente le taux de Dopamine, ce qui améliore ces patients

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Les adultes sont concernés aussi !

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On a, par exemple, constaté que le taux de vitamine D était nettement plus bas chez les enfants atteints de TDA/HA que chez les enfants en bonne santé. Les adultes présentant de faibles taux de vitamines B2, B6 et B9 étaient, par ailleurs, plus fréquemment diagnostiqués de TDA/HA que les personnes présentant un bon apport en vitamines. Un approvisionnement suffisant en acides gras oméga-3 joue également un rôle important. La prise d’EPA et de DHA est essentielle pour le maintien d’une fonction cérébrale normale. Les acides gras oméga-3 peuvent améliorer la capacité de concentration, d’attention et de mémorisation. Le magnésium est également important pour les fonctions cognitives, c’est pourquoi une carence en magnésium est également associée aux troubles cognitifs, comme le TDA/HA.

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De nombreux livres de vulgarisation traitent du sujet, par exemple :

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