Le cycle féminin
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Vous êtes-vous déjà interrogé quant à cet étrange rituel qui consiste, pour les mères, à gifler leurs filles à l’annonce de leurs premières règles ? Les filles qui l’ont vécu s’en souviennent. Les mères qui l’ont perpétué, aussi. Mais rares sont celles qui sont au clair sur ce que ce geste signifie. Et pour cause : si les sources sont discordantes sur son origine (grecque, turque, juive, slave, lithuanienne…), ses interprétations le sont tout autant. S’agit-il de ramener du rouge aux joues des jeunes filles après leur perte de sang, comme le suggère un certain folklore lithuanien ? Ou de perpétuer, de génération en génération, la honte du corps, l’anxiété vis à vis de la sexualité ou la peur des grossesses non désirées ?
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Certains anthropologues avancent que ce geste, hautement contradictoire dans son message, est en réalité beaucoup plus complexe. Qu’il acterait le passage de l’enfance à l’âge adulte, tout en réinstaurant la hiérarchie menacée entre la fille et sa mère, au moment où la première acquiert l’aptitude à la procréation et que la seconde la perd peu à peu…
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Une chose est sûre, néanmoins. Pour bien des femmes, rituel ou non, gifle ressentie dans sa chair ou pas, l’arrivée des règles fait l’effet d’une grosse claque, avec des douleurs qui peuvent les clouer au lit. On leur a souvent dit, jeunes filles, que c’était le lot des femmes, un mauvais moment à passer chaque mois, les dents serrées.
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Les médecins parlent de syndrome pré-menstruel et de dysménorrhée. Il y a pourtant des choses à faire, non seulement pour dompter la douleur, mais aussi pour rééquilibrer son système hormonal.
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On observe deux grands types de mécanismes :
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Parfois, les choses sont plus compliquées, jusqu’à devenir un véritable fardeau. C’est le cas des femmes atteintes d’endométriose, ou d’ovaires polykystiques, des dérèglements qui se traduisent par la migration de cellules endométriales et la prolifération anarchique de tissu en dehors de l’utérus (trompes, ovaires…). Cela produit des kystes, des lésions, des adhérences, de fortes douleurs et parfois de l’infertilité !
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Les gynécologues proposent dans les cas d’endométriose de vous placer en « ménopause artificielle ». On prend donc une pilule en continu pour éviter d’avoir ses règles. Celles-ci, très douloureuses, participent au développement de l’endométriose. Bien sûr, il faut parfois tester plusieurs pilules avant de trouver celle qui me correspondait le mieux, car elles provoquent des effets indésirables… rétention d’eau, de fringales terribles, de ballonnements, d’augmentation de la pilosité, de baisses de moral, de bouffées de chaleur, des douleurs à la poitrine avec une pilule qui provoquait en moi les symptômes hormonaux d’une femme enceinte. Parfois même, les gynécologues prescrivent des injections d’hormones [d’analogues de la Gn-RH, ndlr]!
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Dès que le problème semble complexe, nous vous conseillons de faire pratiquer un BNS12 qui hiérarchisera les dysfonctions et vous proposera un traitement optimisé.
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Traitement homéopathique des aspects de « plénitude de sang » pré-menstruelles :
A renouveller au moins 3 cycles.
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Traitement phytothérapique des aspects de « l’insuffisance de sang » pré-menstruelle :
Notre but est de mettre à disposition des internautes (étudiants, professionnels de la santé et patients) les renseignements disponibles dans le domaine des médecines douces (en anglais, l’on parle de « complementary and alternative medicine »), au sein d’un concept global d’équilibre du terrain, pour qu’ils participent avec nous au débat ouvert sur la médecine de demain … dans une approche systémique de la santé, des symptômes et des remèdes !
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